La société que nous connaissons subit une période de bouleversements importants, tant au niveau technologique, économique que social. Des pays qui tenaient encore il y a peu un rôle secondaire dans notre civilisation passent aujourd'hui sur le devant de la scène. Cette mise en valeur a été révélée par des associations soucieuses de l'environnement, aux paroles dérangeantes mais véridiques. Cette part minoritaire de la population qui a mis le feu aux poudres est en phase de devenir la parole bienveillante de l'humanité. Malgré la part tout de même contestable des dires de ces associations « vertes », on observe une vérité qui trouble bon nombre de personnalités politiques.
Cette prédiction, ou plutôt interprétation, peut se révéler juste en observant certaines zones du globe. Pour les pros écologistes, les tremblements de terres ou tornades qui agitent la surface de la terre, sont tout simplement le fruit de plusieurs décennies durant laquelle verdure rimait avec désinvolture. Le laisser-aller de ces dernières années a provoqué un cocktail détonant avec l'explosion démographique des pays en voie de développement. Leurs habitudes sont donc singulièrement à changer si l'on veut rester en totale harmonie avec notre terre (...)
[...] Les autorités locales font preuve d'un certain laxisme quant aux normes de sécurités, convaincus par la corruption organisé par multinationale Union Carbide. Aucune mesure n'a donc été prise durant la période où l'entreprise fonctionnait normalement. Après l'accident, les mesures permettant l'évacuation des habitants ont été désorganisés ; les habitants mal informés de ce qu'il arrivait. De plus, les infrastructures et équipements médicaux étaient déjà insuffisants en temps normal, ont été débordés après la catastrophe Pourquoi, plus de vingt ans après, la catastrophe de Bhopal est-elle toujours d'actualité ? [...]
[...] De plus, les personnes touchées, sont relativement pauvres, et ne peuvent pas accéder à des soins corrects, leurs permettant de guérir et de mener une vie à nouveau normale Pourquoi le risque de grippe aviaire nécessite-t-il une mobilisation internationale ? Le risque sanitaire touche le monde entier. Mais, cet aléa est plus dangereux car il peut se déplacer. Si le risque démarre aux Etats-Unis, les personnes qui prennent l'avion peuvent le ramener en France. Il faut donc que les pays agissent en coopération pour surmonter le risque et le stopper. Les oiseaux (dans le cadre de la grippe aviaire), transmettent et étendent le risque, le rendant encore plus dangereux pour les personnes du monde entier. [...]
[...] Les sociétés asiatiques face aux risques naturels A. Le tsunami de l'Océan Indien La catastrophe qui s'est déroulée le 24 Décembre 2004 a été ultra médiatisée, de sorte qu'elle soit entendue par toute la population. En intentant cette action, les médias tentaient de toucher le cœur de la population, afin qu'il soit généreux avec les sinistrés. Après ce désastre, beaucoup de pays ont commencé à prendre conscience que leur système de prévention et d'évacuation était inefficace voire inexistant. Un système a dores et déjà été mis en place dans l'Océan Indien pour permettre de prévoir les tsunamis à venir, et ainsi, qu'une catastrophe comme celle déjà passée ne se reproduise plus. [...]
[...] Mais le plus révoltant, c'est que ces catastrophes ont été causées par une défaillance matérielle, construit de la main de l'homme. Les risques sanitaires et technologiques nécessitent une mobilisation internationale, car le risque s'étend rapidement. La grippe aviaire par exemple, a besoin d'être limitée, grâce à de la prévention et de la surveillance. Tandis que la catastrophe de Tchernobyl (1984), s'est étendue sur l'Europe entière, irradiant des personnes sans le savoir. Les risques naturels, eux, ne touchent qu'une seule zone du globe (en général), et s'étendent de manière naturelle. L'homme ne peut pas modifier la trajectoire de ces risques. [...]
[...] Les populations de ces pays sont miséreuses, et vivent dans des bidonvilles. Ces bidonvilles sont fréquemment concentrés dans des zones où la densité est importante. Une catastrophe se produisant dans cette zone aurait des conséquences désastreuses pour tous les habitants, dont les habitations sont précaires. Ces domiciles de fortune sont faits de tôles et de bois, un tremblement de terre les ferait écrouler en très peu de temps. Les pays pauvres sont donc plus sensibles aux catastrophes car leurs urbanisations sont précaires et dangereuses en cas de catastrophe naturelle. [...]
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