La France, forte de 65 millions d'habitants, se place au deuxième rang européen derrière l'Allemagne (83 millions d'habitants). Le pays à une densité moyenne de 112 habitants/km², ce qui place la France dans la moyenne des pays européens mais on constate une importante différence de peuplement notamment par rapport aux Pays-Bas ayant une densité trois fois plus importante que celle de la France (340 habitants/km²). Cette disparité spatiale s'explique notamment par la répartition inégale de la population sur le territoire français. En effet, il faut savoir qu'en France la population est regroupée autour de grandes agglomérations (Paris, Lyon, Marseille, Lille...) ainsi qu'en périphérie du territoire (...)
[...] Ce quartier d'affaires ultra modernisé ne rivalise pas avec les plus grands Central Business District mondiaux tel Midtown à Manhattan mais il contribue fortement au développement économique de la France. Le quartier emploie plus de salariés pour un chiffre d'affaires de plus d'1 milliard d'euros par an. Outre le développement économique mis en valeur par la forte densité de population en région parisienne, d'autres régions contribuent elles aussi au développement de la France. Elles sont situées, soit autour des grandes agglomérations françaises, soit en périphérie du territoire. [...]
[...] Le problème de logements est le principal problème ; il y a une demande largement supérieure à l'offre dans ces zones, ce qui favorise la hausse des prix. Le problème des transports est aussi majeur, les transports en communs étant constamment bondés aux heures de pointe et les autoroutes bouchées (275km de bouchons par jour en France). On constate aussi un problème lié à la pollution qui est de plus en plus important (les grandes agglomérations françaises tuent personnes par an). Et enfin, le dernier problème dans ces zones surpeuplées est l'augmentation de la violence liée à la création d'espaces déconnectés. [...]
[...] On constate qu'il existe une diagonale du vide en France métropolitaine, s'étendant de l'Alsace-Lorraine jusqu'au Midi-Pyrénées. Les régions se trouvant dans cette diagonale ont des taux de densités très faibles par rapport aux autres régions françaises. Néanmoins, ces écarts de densités nous font constater qu'il existe des potentialités et des contraintes liées à la répartition de la population en France métropolitaine. Les potentialités liées à la répartition de la population Les zones de fortes densités apportent des potentialités indéniables au territoire français. [...]
[...] Les loisirs sont aussi peu présents et toutes ces raisons énumérées ci-dessus ont favorisé l'exode rural. Le secteur agricole a lui aussi évolué et les métiers liés à l'agriculture sont de moins en moins attrayants pour la jeunesse française des campagnes. Le fait rural en France est sur représenté par rapport à la place que la France occupe. En conclusion, la population est insuffisante pour une mise en valeur optimale de ces régions. On constate aussi des problèmes dans les zones densément peuplées de France comme la région francilienne. [...]
[...] Elles permettent aussi de mettre en valeur des notions de terroirs parfois oubliées, qui se caractérisent par une fabrication de qualités de produits agro-alimentaires (exemple : label AOC) signifiant bien souvent qualité face aux produits importés et industrialisés. Enfin, ces zones permettent aussi à la population urbaine de subir un réel dépaysement sans avoir besoin de parcourir bon nombre de kilomètres. Les contraintes liées à la répartition de la population Le développement économique n'est pas le même partout en France. En effet, les zones à faible densité sont en recul par rapport au reste de la France. [...]
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