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Qu'est ce qu'on appelle « peuple indigène » ?
Les peuples indigènes, également appelés « peuples autochtones » ou encore « peuples premiers », sont désignés comme étant les descendants des premiers habitants de la terre sur laquelle ils vivent. Ces peuples sont généralement dépendants de leur environnement, possèdent une organisation socio-culturelle et des modes de vie qui leur sont propres : ils sont pour la plupart des sociétés non marchandes ou partiellement marchandes, et non industrielles, organisées selon des réseaux de parenté et d'alliance. Leurs principales activités sont la chasse, la pêche, la cueillette, l'horticulture ou encore l'élevage de bétail, et ils sont fortement attachés à la terre d'où ils tirent tout ce qui est nécessaire à leur vie matérielle et sociale. Les autochtones parlent souvent des langues distinctes des langues officielles, et maintiennent leurs traditions, malgré la différence avec la politique intérieure du pays où ils vivent.
[...] Leur organisation sociale constitue 5 classes d'âge Enfants, jeunes guerriers, guerriers adultes, jeunes aînés, et aînés. Les hommes de la tribu, lors d'une cérémonie dansante, se mettent en compétition en sautant le plus haut possible les pieds joints. Rappelons également que la polygamie est courante, si le nombre de vache est suffisant, et les femmes ne peuvent pas avoir plus de 10 enfants. La culture des Maasaïs est également corporelle : Outre la circoncision ou l'excision, les hommes et les femmes ont les lobes des oreilles percés et souvent distendus par des disques. [...]
[...] Cette déclaration affirme également que les peuples indigènes ne peuvent être expulsés de leur terre, et qu'ils ont le droit aux ressources naturelles situées sur celles-ci. Le texte stipule également que les Etats doivent réparer et restituer aux indigènes les biens culturels, intellectuels, religieux et spirituels qui leur ont été pris sans leur consentement libre. Cette déclaration, voté à la majorité avec 143 voix pour, contre 4 voix contre (dont les Etats-Unis), régularise alors le statut des indigènes ; Cependant, ces directives ont un titre indicatif, et ne font qu'officialiser le statut libre des indigènes : les autochtones sont nombreux à ne pas pouvoir profiter de ces droits. [...]
[...] Pour présenter la culture des Maasais, commençons par présenter leur habitat : Petites maisons circulaires constituées de branchage entrecroisés, celles- ci sont recouvertes de bouse de vache et de boue qui durcissent rapidement au soleil, et constituent un abris solide et relativement étanche. Ces maisons sont constituées d'une pièce pour les invités, une autre pour les animaux, la pièce principale où l'on fait cuire les aliments et où l'on dort sur des nattes posées sur le sol. Ces habitations en groupe forment un cercle qu'ils nomment enkang Les animaux sont regroupé au centre de celui-ci la nuit pour les protéger des prédateurs. Quand ils doivent migrer, ils détruisent toute leurs habitations par le feu. [...]
[...] L'influence occidentale que promènent les touristes ont entraîné par exemple la consommation de drogue telles que la marijuana et la haschich, et ils transfèrent également de nombreuses maladies mortelles pour les indigènes. Le tourisme est une des facettes meurtrières de la mondialisation, qui s'ajoute à l'urbanisation croissante et les déforestations, diminuant les territoires autochtones. Pour contrer cela, certains états créent des parcs nationaux. B Perte de terres, déforestation, Politiques intérieures - Solution : Création de parc nationaux ? La réaction écologique des pays entraîne alors la création de parcs nationaux : Un parc national est une. [...]
[...] Ces constats sont valables plus particulièrement dans des pays où leurs population constitue une faible minorité, comme au Mexique ou au Chili, même si les autochtones en proportion majoritaire comme en Bolivie, ne parviennent pas non plus à évoluer économiquement. Ces difficultés s'expliquent par leur intégration dans l'éducation contemporaine : Les enfants autochtones sont plus susceptibles d'arriver affamés, malades ou fatigués à l'école. Ils sont aussi victimes des discriminations, de violences, qui constituent un obstacle majeur à un accès égalitaire à l'éducation. Les filles autochtones sont souvent victimes de discrimination sexuelle, de violence voire d'abus sexuels, qui contribuent à un taux d'abandon des études élevé. II/ Les cultures autochtones : identités des populations marginalisées. A Les Maasaïs, autochtones d'Afrique. [...]
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