La population d'Amérique Latine reste faible malgré la récente poussée démographique. Il existe un fort contraste entre les villes millionnaires et les vides humains qui les séparent. Le phénomène de vieillissement de la population commence à apparaître. Dans un premier temps, nous verrons la répartition de la population, puis ses dynamiques historiques en enfin ses mobilités contemporaines.
[...] Conclusion Un Latino-Américain a aujourd'hui 1 chance sur 2 d'être Brésilien ou Mexicain chances sur 10 d'être urbain et 1 chance sur 3 d'avoir moins de 15 ans. Il est également probable qu'il soit directement ou indirectement concerné par l'exode rural ou par les migrations internationales. L'explosion démographique est terminée en Amérique latine. Le taux de croissance naturelle est limité. Reste maintenant à veiller aux nouveaux besoins liés au vieillissement de la population dans certains états, et aux déséquilibres régionaux moteurs des migrations. [...]
[...] Les migrations touchent en priorité le Mexique et sa frontière avec les États-Unis est une forte zone d'échange et de passage. Mexicains installés aux EU : 1960 : : : Cette explosion est en bonne partie due à l'ALENA fondée en 1994. Globalement, la communauté hispanique représente 39M de personnes aux EU. On estime à 1M le nombre de Latino-Américains présent en Europe, de même pour l'Australie, le Japon et le Canada. De manière interne à l'Amérique latine, le Mexique reçoit massivement des migrants provenant des autres états, étant donné qu'il est la porte d'entrée des EU. [...]
[...] Globalement, le Brésil présente un modèle en trois temps : avant 1870, le Nordeste attire avec son économie de plantation, puis c'est au tour du Sudeste industriel et urbain et enfin plus récemment on voit l'essor du pôle de colonisation amazonien. Ce modèle en trois phases se retrouve à des degrés divers dans les autres états. Les mobilités internationales Les systèmes migratoires La recherche d'emploi est la première cause de mobilité. Après avoir reçu des migrants pendant longtemps, l'Amérique latine présente aujourd'hui un solde négatif. Les régimes autoritaires des années 1970 ont contraint de nombreux Latino-Américains à l'exil. La majorité des migrations sont orientées vers l'Amérique du Nord et principalement les États-Unis. Signalons également des flux non négligeables vers l'Europe. [...]
[...] En 1500 la population native américaine était de 50 à 100 millions de personnes. 1800 : 20M 1850 : 33M 1900 : 60M, soit 10% de la pop actuelle. 40% de 15 ans au Guatemala et au Honduras Mexicains installés aux EU : 1960 : : : Cette explosion est en bonne partie due à l'ALENA fondée en 1994. Globalement, la communauté hispanique représente 39M de personnes aux EU. On estime à 1M le nombre de Latino-Américains présent en Europe, de même pour l'Australie, le Japon et le Canada. [...]
[...] Introduction La population d'Amérique Latine reste faible malgré la récente poussée démographique. Il existe un fort contraste entre les villes millionnaires et les vides humains qui les séparent. Le phénomène de vieillissement de la population commence à apparaître. Dans un premier temps, nous verrons la répartition de la population, puis ses dynamiques historiques en enfin ses mobilités contemporaines. Des vides et des villes Un grand ensemble peu peuplé Amérique Latine + Caraïbes = 590 millions d'habitants en 2005, soit de la pop mondiale. [...]
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