Le terme « mondialisation », apparu au début des années 1980 dans la langue française dans le cadre de travaux économiques et géopolitiques est toujours usité de nos jours. Il désigne l'expansion et le resserrement des liens d'interdépendance entre les nations, les activités humaines et les systèmes politiques à l'échelle mondiale. Ce phénomène présente de nombreuses qualités. En effet, les pays décideurs ont des objectifs communs et s'associent afin de créer une économie de marché forte et avantageuse pour eux. Cela permet de consolider les liens entre les pays. Mais, cependant, nous nous apercevons depuis quelques temps de conséquences plus ou moins néfastes à certains espaces mondiaux (...)
[...] Ces derniers tentent donc de rentrer dans la démarche de la mondialisation afin d'obtenir de nouveaux marchés et de se hisser à la hauteur de la Triade. Dans cet objectif, la Chine a atteint son but en devenant le plus grand exportateur mondial en Janvier 2010. La Russie est quant à elle un pays en reconversion qui s'emploie à restructurer son économie afin de rentrer dans la compétition. Les NPIA, Nouveaux Pays Industrialisés d'Asie : Singapour, Hong-Kong, la Corée du Sud et Taïwan sont parvenus en plusieurs années à concurrencer les pays de l'Union Européenne, grâce à une main d'œuvre beaucoup plus abordable et en s'appuyant sur les technologies des pays développés comme l'électronique, l'informatique et la sidérurgie. [...]
[...] De même, le port de la Burqa qui a déchaîné les foules il y a quelques temps n'est en fait qu'un conflit de culture entre des personnes d'origines étrangères, venant de pays frontaliers et désirant affirmer leur religion dans un pays comme la France dont l'un des principes de la République est la laïcité. La mondialisation, engendre donc un mélange de cultures, et bien entendu par la suite des conflits culturels. La mondialisation entraîne une perte des habitudes culturelles de certains pays. En effet, la gastronomie française a peu à peu été remplacée par les fast-food américains qui monopolisent une grande partie des centres commerciaux et lieux de passage. [...]
[...] Du fait de son haut rendement et de sa forte utilisation dans les produits agricoles et dans la nourriture mondiale, des millions d'arbres de la zone intertropicale sont coupés pour être remplacés par des palmiers à huile. C'est une importante menace pour l'écosystème et également pour la santé humaine car elle peut causer à forte dose des problèmes cardio-vasculaires. Ces pays, tels que l'Indonésie, la Malaisie, la Thaïlande et l'Afrique de l'Ouest, tentent grâce à ces plantations d'augmenter significativement leurs exportations dans le monde. Ces pays du Sud essayent peu à peu de rentrer dans le système de la mondialisation alors que leur environnement dépéri. [...]
[...] Au contraire, moins de 20% y ont accès en Asie et environ 65 millions de personnes en Afrique, soit 7%. Ces analyses chiffrées nous permettent de conclure sur l'écart important entre les pays du Sud et les pays du Nord pour l'accès à la technologie et à l'information. Certains pays, comme la Chine, sont également sous censure et ne peuvent avoir accès qu'à des informations triées et en accord avec l'idéologie du pays. Les migrations quant à elles appauvrissent les pays sous-développés de leur main d'œuvre, des jeunes élites et donc de leurs principaux atouts. [...]
[...] Leur rôle consiste à réduire les obstacles à la création de nouvelles entreprises et de supprimer peu à peu les frontières entre les états. Les entreprises ne sont pas assujetties à payer des taxes et disposent d'impôts réduits (zones franches, paradis fiscaux). Ces organisations veulent obtenir un libre échange entre les pays. Tous les états peuvent jouer un rôle même si, par la création d'un Conseil de Sécurité où seuls la Russie, le Royaume-Uni, la France, la Chine et les Etats-Unis siègent, on devine une influence plus grande provenant de ces états. [...]
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