La mondialisation est un phénomène croissant d'internationalisation des échanges économiques, financiers, mais aussi politiques et culturels entre les individus, les grandes firmes, les Etats, les organismes internationaux ... visant à faire le lien entre les différentes sociétés et territoires de part le monde. Cependant, si nous entendons par « une société et son territoire » un groupe de personnes et leurs cultures, leurs croyances, nous pouvons nous demander comment chacune - car toute société est différente - réagit face à la mondialisation.
Ainsi, nous procèderons à l'analyse de cette question par le biais de trois grands axes : nous étudierons tout d'abord la mise en place de la mondialisation, pour ensuite nous intéresser aux disparités existantes, et les différentes réactions engendrées par celles-ci, et par la mondialisation en générale auprès de ces sociétés.
Tout d'abord, il est important de rappeler les acteurs prenant majoritairement place dans la mondialisation, et sans qui celle-ci n'aurait pas lieu : les FMN, les Etats, et les ONG.
Les FMN sont à l'origine d'une nouvelle division du travail. Leur pouvoir repose sur plusieurs piliers : le coût faible des transports et le développement des technologies de communications qui permettent de trouver des sous-traitants dans le monde entier >> décentralisation, délocalisation. Elles disposent aussi d'un pouvoir d'influence auprès des gouvernements des pays et sur les organismes économiques internationaux mais la maîtrise du marché national reste une de leurs priorités : elles réalisent 50% de leurs activités et 60% de leur CA dans leur pays. Leurs Etats sont leurs principaux clients.
Ils jouent un rôle important dans la mise en place de la mondialisation. Ils ont dérégulé et ouvert leur économie et imposent ainsi leur point de vue au reste du monde. Elles prennent la tête d'organisation de libre-échange afin de les faciliter et en sont des acteurs centraux : elles assurent les besoins collectifs de la population et des entreprises.
Quant à elles, les ONG, au nombre de 50000 à l'échelle mondiale et souvent d'origines privées, elles interviennent dans le domaine humanitaire ou environnemental (Greenpeace). Même si elles parviennent à sensibiliser l'opinion publique, elles sont toutefois subventionnées par les Etats qui peuvent alors faire pression (...)
[...] Leurs Etats sont leurs principaux clients. Ils jouent un rôle important dans la mise en place de la mondialisation. Ils ont dérégulé et ouvert leur économie et imposent ainsi leur point de vue au reste du monde. Elles prennent la tête d'organisation de libre- échange afin de les faciliter et en sont des acteurs centraux : elles assurent les besoins collectifs de la population et des entreprises. Quant à elles, les ONG, au nombre de 50000 à l'échelle mondiale et souvent d'origines privées, elles interviennent dans le domaine humanitaire ou environnemental (Greenpeace). [...]
[...] Ils possèdent également les capitaux et maîtrisent les technologies et l'information alors qu'¼ de la population mondiale n'a pas accès à l'électricité et au téléphone, notamment dans les PMA situés dans l'Afrique Subsaharienne ou en Afghanistan. Cependant, ces centres d'impulsions ont besoin de périphéries dites intégrées, qui lui procurent matières premières et de main d'oeuvre. Dans ce groupe de périphéries, certains pays ont su se mettre en avant et devenir des puissances régionales (Brésil, Chine, Inde, NPI . créant ainsi des disparités régionales. Pourtant, ces alliances complémentaires, nécessaires au Nord, ne profitent réellement qu'au Nord. [...]
[...] Les centres d'impulsions ont besoin de périphéries dites intégrées, qui lui procurent matières premières et de main d'oeuvre. Dans ce groupe de périphéries, certains pays ont su se mettre en avant et devenir des puissances régionales (Brésil, Chine, Inde, NPI . créant ainsi des disparités régionales. [...]
[...] visant à faire le lien entre les différentes sociétés et territoires de part le monde. Cependant, si nous entendons par une société et son territoire un groupe de personnes et leurs cultures, leurs croyances, nous pouvons nous demander comment chacune car toute société est différente - réagit face à la mondialisation. Ainsi, nous procèderons à l'analyse de cette question par le biais de trois grands axes : nous étudierons tout d'abord la mise en place de la mondialisation, pour ensuite nous intéresser aux disparités existantes, et les différentes réactions engendrées par celles-ci, et par la mondialisation en générale auprès de ces sociétés. [...]
[...] Dès lors, voyons maintenant comment cette mondialisation est accueillie par tout ces pays. On observe, dans beaucoup de pays, une certaine réticence envers cette mondialisation, qui tente à aggraver l'écart déjà existant entre pays riche et pays pauvres. Cette réticence est la même chez tous, seul le moyen de l'exprimer change. On distingue dès lors deux catégories : les manifestations dans les pays développés, et les manifestations dans les pays en cours de développement. Dans les pays développé, les manifestations sont pacifistes, orchestrés par des groupes de personnes nommés les altermondialistes. [...]
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