mobilité urbaine, Mali, Bamako, Kayes, exode rural, Afrique de l'Ouest, déforestation, travail, mariage arrangé, Souleymane Bocoum
La mobilité urbaine est le fait de quitter une zone rurale vers une zone urbaine. La question de la mobilité urbaine a été beaucoup étudiée par les démographes, économistes, sociologues, anthropologues, historiens, etc. Quelle mobilité migratoire au Mali ? Le Mali a une population estimée selon les derniers recensements à dix-huit millions d'habitants dont dans le cadre de l'exode rural, de la mobilité urbaine, la capitale malienne faisant plus de quatre millions d'habitants, alors qu'elle était estimée à cinq cent mille habitants, l'équivalent de la ville de Tours en France.
[...] La mobilité à Bamako Le Mali est une des Nations les plus mobiles notamment en termes d'émigration internationale. Kayes (première région du Mali) est en effet le bassin de l'émigration malienne dans le cadre de la mobilité notamment au Mali. Bamako en effet regorge toute une population issue de l'exode rural. Les garçons font généralement du gardiennage, les filles sont souvent employées comme aides ménagères. Cet itinéraire varie souvent d'une région à une autre, d'une zone rurale à une autre, d'un quartier une fois à Bamako à d'autres. La mobilité à Bamako reste saisonnière. [...]
[...] En effet, le Mali connaît une forte mobilité urbaine du sud au Nord. Ne fut-ce la rébellion, les nordistes ne quittaient pas plus leur zone humide. La mobilité est très fréquente à l'instar des autres pays de la zone sous régionale d'Afrique de l'Ouest. Le Mali connaît une forte mobilité urbaine notamment du côté de la première région du Mali (Kayes). Bamako est le centre de la République du Mali comme toutes les Capitales à travers le monde. La mobilité a en effet été traitée par les historiens, les anthropologues, les physiciens, les économistes, mais nous l'avons abordé d'un point de vue démographique. [...]
[...] Quelle mobilité migratoire au Mali ? Le Mali a une population estimée selon les derniers recensements à dix-huit millions d'habitants dont dans le cadre de l'exode rural, de la mobilité urbaine, la capitale malienne faisant plus de quatre millions d'habitants, alors qu'elle était estimée à cinq cent mille habitants, l'équivalent de la ville de Tours en France. La mobilité notamment celle de Bamako est une question qui a longtemps été abordée par les spécialistes de tous genres : les économistes, les physiciens, les anthropologues, les économistes, les sociologues, les démographes, etc. [...]
[...] L'exode des jeunes garçons Les jeunes garçons sont souvent victimes d'exode rural au Mali. En effet, les jeunes garçons étant des bras valides, des cultivateurs, des soutiens de famille, s'adonnent souvent à la pratique de l'exode rural. L'exode des garçons tourne souvent au vinaigre. Ils s'adonnent à toutes sortes de banditismes, délinquance, de la déviance dans le District de Bamako, ce qui fait qu'une certaine mobilité à Bamako notamment chez les garçons tourne mal. Conclusion La mobilité urbaine est le fait de passer d'une zone rurale vers une zone urbaine. [...]
[...] La famine de 1974 et la mobilité urbaine La famine de 1974 a beaucoup à voir avec la mobilité urbaine. En effet, la faim, la famine a poussé beaucoup de ressortissant des zones notamment de la première région du Mali une importante masse d'exode rural. III. L'exode des filles de campagnes à Bamako « L'exode des jeunes filles des campagnes vers les villes est pour la recherche de fond matériel pour le trousseau de mariage, étant donné que les jeunes filles sont fiancées à des cousins depuis la petite enfance »[1]. [...]
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