Mexico, capitale du Mexique, chef-lieu du district fédéral, située dans le centre de ce pays d'Amérique du Sud, à 2 239 m d'altitude.
Mexico est une municipalité dirigée par un régent, nommé par le président de la République. L'agglomération mexicaine est l'une des zones urbaines les plus peuplées du monde. La ville de Mexico compte environ 22 millions d'habitants avec ses faubourgs et s'étend sur plus de 4500 km2 ce qui fait d'elle la ville la plus peuplée au monde.
Comment les facteurs de l'importante population, du fort taux d'accroissement naturel et de l'immigration vont-ils se répercuter sur la société ?
Vont-ils avoir des effets sur l'environnement ?
Dans une première partie, nous étudierons les caractéristiques historiques et géographiques de Mexico.
Nous verrons les principales étapes de développement de cette ville, ainsi que l'organisation de l'espace urbain et les différentes communautés présentes.
Nous évaluerons aussi l'importance de la ville à l'échelle nationale.
Dans une deuxième partie, nous étudierons les problèmes environnementaux et humains.
Les problèmes environnementaux seront constitués des contraintes naturelles et des problèmes écologiques reliés à cette ville, alors que les problèmes humains seront ceux liés à la croissance démographique, aux inégalités sociales et aux activités économiques.
Dans une troisième et dernière partie, nous traiterons des solutions adoptées ou envisagées par le régime politique en place, les populations locales et les organismes internationaux.
Puis, je vous livrerai mon opinion sur les solutions qui me semblent envisageables.
En conclusion de cette réflexion, nous ouvrirons une nouvelle question, portant sur un sujet indirectement lié au notre (...)
[...] - Les entreprises trouvent à Mexico une main-d'œuvre abondante et très peu chère. Inexorablement, les habitants de ces nouveaux quartiers pauvres grossiront la masse des petits boulots et du commerce informel du cœur de la capitale. LES SOLUTIONS ADOPTEES OU ENVISAGEES En ce qui concerne le problème des bidonvilles, le gouvernement mexicain a tenté et tente encore par ses politiques de réguler, d'organiser et de légiférer pour limiter leur extension. Malheureusement, à ce jour, le problème demeure entier et souvent les mesures ont été prises trop tard. [...]
[...] Mexico est plus qu'une métropole, c'est une mégapole. On parle même, dans le cas du gigantisme désastreux de cette ville, de macrocéphalie. La surpopulation entraîne aussi des problèmes de saturation des axes routiers et du métro inauguré en 1969. -Victime de cette surpopulation, Mexico est une ville aux multiples contrastes, dont les bidonvilles et les quartiers insalubres à sa périphérie jouxtent de véritables joyaux coloniaux et de nombreuses places bien plus prospères. En effet, le développement démographique de Mexico a entraîné la création de banlieues et de faubourgs d'une grande diversité : quartiers résidentiels chics et modernes à Pedregal et bidonville à Netzahualcóyotl notamment. [...]
[...] Sur un plan politique, les partisans du commerce équitable, défendent à l'échelon international, des principes qui vont dans le sens de limiter l'exode rural. En améliorant les conditions de vie dans les zones rurales , en permettant aux paysans de vivre de leur travail , ceux-ci ne seraient plus condamnés à venir grossir les populations urbaines , comme à Mexico , dans les bidonvilles . On peut aussi parler de la solidarité internationale lors du tremblement de terre de 1985. Les populations locales envisagent également des actions. [...]
[...] Le phénomène de l'inversion thermique aggrave encore ce problème. Mexico rejette 5 millions de tonnes de polluants par jour, dont 11000 tonnes de poussières toxiques : 75% de ces polluants sont dus à la circulation automobile à l'industrie (Mexico compte plus de usines) à la mauvaise hygiène de vie. Résultats : Une visibilité maximale de 500 mètres 70% des nouveaux nés sont contaminés par le plomb et prématurés meurent par an ! -Dans les bidonvilles, il n'existe pas de réelle installation d'approvisionnement en eau ni d'égouts, ce qui entraîne des problèmes sanitaires et de fréquentes pénuries. [...]
[...] Les étudiants ont poursuivi une grève en 1999, qui a été interrompue par la police. En ce qui concerne la lutte contre la pollution, des partis politiques ont vu le jour comme le Parti Ecologiste en 1999, présidé par Jorge Gonzalez TORREZ. Je pense qu'il faut absolument encourager par des aides les entreprises à la décentralisation, ou bien pénaliser financièrement les concentrations. Pourquoi ne pas créer une taxe sur la main-d'œuvre urbaine, un peu comme la taxe professionnelle en France ? [...]
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