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Si la fin de la Guerre froide entraine une Allemagne réunie, la chute de l'Union soviétique, mais aussi la fin des deux blocs, une chose marque réellement les esprits : l'espoir d'un ordre mondial nouveau, innovant et serein. Ainsi, l'Amérique semble restée un leader de taille après ce conflit mondial, supervisant attentivement tous les acteurs internationaux. Malgré tout, la place des États-Unis au Moyen-Orient depuis 1991 n'a cessé de donner une mauvaise image de cette première puissance mondiale dans le continent asiatique, donnant également la possibilité à la Chine de progresser de son côté.
[...] L'image américaine a pris un impact conséquent en termes de gendarmes du monde, et ce, malgré une coalition de 29 États pour sortir l'Irak du Koweït. Avec un maintien des troupes sur place pour éviter à l'Irak de récupérer l'arme nucléaire, les États-Unis s'imposent face au Moyen-Orient. Le 11 septembre 2001, les deux tours jumelles sont détruites par deux avions détournés. al-Qaïda, une organisation terroriste, revendique l'attaque. Cette menace terroriste effraye le monde entier : les États-Unis, superpuissance, État gendarme au lendemain de la Seconde Guerre mondiale et Géant face à l'URSS pendant la Guerre Froide, vient de voir un symbole américain s'effondrer face à une attaque. [...]
[...] Conclusion En conclusion, nous pouvons répondre à la question intrigante de notre analyse : de quelles manières peut-on réellement affirmer que les États-Unis perdent peu à peu ce statut d'hyper puissance ? À l'aide de cas d'espèce précis et d'exemples concrets, nous avons pu apporter plusieurs raisons à cela, donnant une réponse globale. Malgré une guerre du Golfe stoppée en 1991, les troupes américaines ne se sont pas retirées dans un but de protection de l'« hégémonie américaine ». Par la suite, les attentats du 11 septembre ont montré au monde une image meurtrie des Américains, qui n'ont pas perdu de temps pour répondre en bombardant les troupes de talibans présents sur le territoire afghan. [...]
[...] De quelle manière peut-on affirmer que les États-Unis perdent peu à peu leur place d'unique d'hyper puissance sur la scène internationale ? Introduction Si la fin de la Guerre froide entraine une Allemagne réunie, la chute de l'Union soviétique, mais aussi la fin des deux blocs, une chose marque réellement les esprits : l'espoir d'un ordre mondial nouveau, innovant et serein. Ainsi, l'Amérique semble restée un leader de taille après ce conflit mondial, supervisant attentivement tous les acteurs internationaux. Malgré tout, la place des États-Unis au Moyen-Orient depuis 1991 n'a cessé de donner une mauvaise image de cette première puissance mondiale dans le continent asiatique, donnant également la possibilité à la Chine de progresser de son côté. [...]
[...] En effet, ces États ont su s'implanter dans le monde via le marché international, donc le commerce, mais aussi dans l'économie avec une devise forte et répandue, le dollar, et enfin un fort potentiel en termes d'attraction du reste du monde. Par exemple, les États-Unis semblent toujours garder une place de leader dans la mondialisation, étant répertoriés comme la première puissance mondiale. La firme McDonald s'implante dans la plupart des pays du globe, le dollar est une devise internationale et les échanges de capitaux ou humains augmentent malgré la crise. [...]
[...] Au vu de ce qu'il a été énoncé, et pour répondre à un enjeu de taille, de quelle manière peut-on affirmer que les États-Unis perdent peu à peu leur place d'unique d'hyper puissance sur la scène internationale ? Nous verrons tout d'abord le statut d'hyper puissance validé par l'interventionnisme américain puis nous analyserons la concurrence des autres puissances mondiales et anciennement émergentes pour voler ce titre (II). I - Une puissance militaire de l'hyper puissance en déclin De 1990 à 1991, c'est l'envahissement du Koweït par l'Irak. [...]
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