Au début, le régime communiste gardait un certain optimisme « un homme c'est une bouche mais c'est aussi deux bras » ; dans les années 1960, il y a une forte croissance de la population, il va falloir mettre en place des mesures. En 1970, on met en place la politique de l'enfant unique, il va y avoir des sanctions pour les familles ayant plus d'un enfant. Ce sont des mesures anti-natalistes ; il faut lutter contre la forte natalité, faire baisser le taux de fécondité (le taux de natalité est le nombre de naissance pour 1 000 habitants en un an) (...)
[...] La maitrise de la croissance démographique en Inde et en Chine I. La chine, une gestion autoritaire Au début, le régime communiste gardait un certain optimisme un homme c'est une bouche mais c'est aussi deux bras ; dans les années 1960, il y a une forte croissance de la population, il va falloir mettre en place des mesures. En 1970, on met en place la politique de l'enfant unique, il va y avoir des sanctions pour les familles ayant plus d'un enfant. [...]
[...] En campagne, le message passe moins bien, il y a un besoin de bras (de population), elle est difficile car les familles ont deux, trois voire cinq enfants. Le génocide des filles car les familles chinoises ce devant d'avoir un garçon pour perpétuer le culte des ancêtres, de nombreux bébés filles sont tuées à leur naissance. Face à ces effets néfastes, il y a eu un assouplissement de la politique : accord d'avoir deux enfants au lieu d'un par la politique nataliste. [...]
[...] La périphérie et l'intérieure des terres, il y a donc des contraintes naturelles, enfin il y a peu d'agriculture et de développement économique et industriel. Il y a des inégalités entre les villes et les campagnes, la ville attire la population parce qu'il y a de la concentration des activités économiques, elle attire une population des campagnes : exode rural ; la ville c'est le lieu de la modernité, augmentation des mentalités, apparition des bidonvilles dans les villes qui sont incapables de fournir des services (eau Il existe aussi des inégalités sociales, il y a des villes qui ont profité du développement économique, il y a des contrastes de richesses (riches/pauvres), il y a une existence de la classe aisée, développement démographique et des mentalités, mais cela reste limité, c'est une petite partie de la population qui se développe : l'IDH (Indicateur de Développement Humain, pour calculer l'alphabétisation Conclusion A l'heure actuelle, l'Inde et la Chine sont considérées comme des géants démographiques, la population s'élève à plus de 2 milliards d'habitants, elle est toujours marquée par une croissance importante, même si la Chine s'en sort mieux que l'Inde (maitrise des naissances, indice de fécondité faible Cette forte population a freiné le développement économique de l'Inde et de la Chine qui ont dût mettre en place des politiques économiques (révolution verte, libéralisation du marché Tout les problèmes ne sont pas résolus, vont-ils s'accentués avec une ouverture plus large de la mondialisation ? [...]
[...] Il y a toujours des espaces pauvres par rapport aux villes (campagnes). Les habitants des villes ont la capacité de se nourrir (plus de commerce) mais il existe quand même de la pauvreté (mise en place de bidonvilles). Il existe des problèmes liés à l'environnement : pollution, érosion des sols, problèmes au niveau de la ressource en eau, usage des barrages pour retenir l'eau, qui bouleverse la population. B. Le défi de développement économique Pour assurer son développement économique, la Chine va développer une voie communiste de 1948 à 1976, qui consiste à centraliser une gestion, une planification de l'économie : mise en place de plans obligatoires, l'industrie est privilégiée (réalisation de barrages, politique de grands travaux) pour développer les usines. [...]
[...] Le problème est qu'il faut éduquer les gens qui sont souvent analphabètes, ils ne savent pas lire et écrire, ou c'est très limité, la campagne est donc inefficace. Le taux de natalité et fécondité baissent lentement en Inde. L'accroissement naturel reste élevé en Inde, et donc elle n'a pas totalement finit sa transition démographique. Le problème est que les effets sont assez limités : le taux d'accroissement naturel reste quand même important, l'évolution est très lente au niveau des mentalités, du poids des traditions et des coutumes. [...]
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