Pays de l'Afrique centrale, le Cameroun est situé entre le 2e et 13e degré de latitude nord et le 9e et 16e degré de longitude est. Il est ouvert sur l'Océan Atlantique sur une distance de 280 kilomètres. Cette situation géographique du Cameroun explique la diversité des milieux naturels, de la zone pré sahélienne aux hautes terres de l'Ouest, en passant par les basses terres côtières et les plateaux de moyennes altitudes. Cette mosaïque de milieux naturels justifie la variété des produits agricoles camerounais. L'économie camerounaise repose essentiellement sur l'agriculture. Elle fait vivre plus ou moins directement les ¾ de la population, représente environ 20% du P.I.B. et fournit 70% des exportations en valeur. Qu'elle soit vivrière ou d'exportation, l'agriculture camerounaise est essentiellement familiale. Mais il existe aussi de grandes exploitations capitalistes (C.D.C. SOCSUBA, SOCAPALM…etc.) appartenant à l'Etat ou à des investisseurs privés. Le dynamisme de l'agriculture camerounaise permet de satisfaire les besoins alimentaires des populations locales et une partie de ceux des pays de la sous région (TCHAD, R.C.A., GABON, CONGO et GUINEE EQUATORIALE). Comme énoncé plus haut, la variété des milieux naturels du Cameroun permet de diviser le pays en trois grandes zones de concentration agricole : la zone septentrionale et l'Adamoua, les hautes terres de l'ouest et le grand sud forestier.
[...] Elle prive de nombreuses zones d'exploitation agricole de la main-d'œuvre indispensable. Conclusion Au demeurant, force nous est de constater que le Cameroun peut être diviser en trois grandes zones de concentration agricole : la zone septentrionale et l'Adamaoua qui est le domaine des céréales tel que le mil, le sorgho et le mais et l'on note aussi la culture du bananier plantain dans l'Adamaoua ; comme culture vivrière, le coton est la principale culture d'exploitation ; les Hautes terres de l'Ouest ici compte tenu de la fertilité des sols grâce aux éruptions volcaniques on recense plusieurs cultures vivrières à l'instar du maïs, l'arachide et haricot, plusieurs légumes et les fruits les tubercules comme culture de rente, le café, le cacao et le riz qui sont les trois principales cultures le grand sud forestier ici c'est culture des tubercules qui a pignon sur rue, le cacao, l'ananas , la canne à sucre et le caoutchouc sont les cultures de rente de cette zone le Cameroun est un pays agricole et cette activité est bénéfique pour le pays, car on peut affirmé sans crainte l'amélioration des performances agricoles du Cameroun qui a largement contribuée à réduire les taux de pauvreté rurale et même nationale. [...]
[...] Cela contribue à la faible exploitation des terres cultivables seulement 20% des terres cultivables sont utilisées pour les besoins de l'agriculture selon les spécialistes - et le rendement limité des terres cultivées. Il existe aussi un manque criard de système de conservation des produits agricoles. Certains d'entre eux, notamment les produits vivriers, sont facilement périssables. A cela s'ajoute le manque d'un réseau de transport. De nombreuses zones d'exploitation agricole sont très enclavées. L'écoulement des produits vers les marchés est une opération périlleuse qui se solde le très souvent par une perte de la plus grande partie des récoltes. La chaleur, l'humidité, la pluie contribuent à la détérioration des récoltes. [...]
[...] De la zone pré sahélienne aux hautes terres de l'Ouest, en passant par les basses terres côtières et les plateaux de moyennes altitudes. Cette mosaïque de milieux naturels justifie la variété des produits agricoles camerounais. L'économie camerounaise repose essentiellement sur l'agriculture. Elle fait vivre plus ou moins directement les de la population, représente environ 20% du P.I.B. et fournit 70% des exportations en valeur. Qu'elle soit vivrière ou d'exportation, l'agriculture camerounaise est essentiellement familiale. Mais il existe aussi de grandes exploitations capitalistes (C.D.C. SOCSUBA, SOCAPALM etc.) appartenant à l'Etat ou à des investisseurs privés. [...]
[...] Dans la région du Noun, les éruptions volcaniques ont répandu d'importantes couches de basaltes et lapilli, formant ainsi des sols très fertiles. Les précipitations sont abondantes et le climat favorise la culture d'une grande variété de produits - Les Cultures vivrières Le maïs, l'arachide, le haricot, de nombreux légumes et fruits (ananas, tomate, mangue, avocats, choux etc.), la patate, le taro et les pommes de terre constituent les principales cultures vivrières - Les Cultures de rente Cultivé à Foumbot, Bafoussam, Dschang, Bamenda et dans tout le couloir du Moungo, le café est la principale culture d'exportation. [...]
[...] Les cultures de rente, en plus des problèmes ci-dessus mentionnés, sont soumises aux aléas et fluctuations des cours des matières sur les différents marchés internationaux, dont nous maîtrisons très peu les règles de jeu. Les producteurs et paysans dans une certaine mesure contribuent à empirer la situation. Il existe une absence de regroupement, d'associations, de syndicats actifs et capables de faire pression sur l'Etat afin de bénéficier des fruits de la croissance économique, croissance pour laquelle ils sont en grande partie responsables. [...]
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