Le réseau en France est sous la forme d'une étoile, le coeur se situant à Paris qui représente un noeud de communication. Ce réseau ressemble au réseau de la circulation sanguine, Paris en serait donc le coeur. Avant 1980, une très forte centralisation politique, économique et culturelle. Après 1980, plus exactement en 1982, loi de décentralisation (réduit le pouvoir à l'Etat central et le donne aux provinces). Certaines régions sont très isolées, un phénomène d'enclavement apparaît. Le but est donc de désenclaver certaines régions (Bretagne, Massif Central) en créant pour le premier de nombreuses voies rapides, pour le second en créant une autoroute reliant la capitale au sud de la France. Le réseau commence à créer une sorte de toile d'araignée, c'est-à-dire que le réseau commence à se construire de province en province. On peut voir une amélioration des réseaux déjà existants, ce qui réduit le temps de trajet.
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La logique de l'Union Européenne est la libre circulation des hommes, des marchandises et des capitaux. Pour les hommes, les liaisons ferroviaires reliant la France à l'Espagne ou à la Grande-Bretagne existent. Pour les marchandises, le principal réseau est le routier, l'autoroutier. La Suisse innove en créant le ferroutage ou autrement appelé le transport combiné (poser des poids lourds sur des trains). Ce transport combiné est largement développé dans les ports, où les aéroports où on peut voir des connexions de différents types de réseaux autrement dit, des plateformes multimodales. Exemple : L'aéroport Charles de Gaulle à Paris dispose de sa propre gare (alliance transport aérien-ferroviaire). Il y a aussi une amélioration des connexions avec les réseaux étrangers comme par exemple, le tunnel sous la Manche, ou le tunnel de Fréjus. Cependant la politique de transport a deux défauts : le premier est environnemental, on donne une priorité au transport routier, qui est certes plus pratique mais plus polluant. Le deuxième est économique. En effet, on axe la politique des transports en fonction d'un critère de rentabilité. Contre-exemple, on supprime des lignes ferroviaires non ou pas assez rentables. Il y a donc une sorte de ré-enclavement qui existe (...)
[...] Ce réseau ressemble au réseau de la circulation sanguine, Paris en serait donc le cœur. Avant 1980, une très forte centralisation politique, économique et culturelle. Après 1980, plus exactement en 1982, loi de décentralisation (réduit le pouvoir à l'Etat central et le donne aux provinces). Certaines régions sont très isolées, un phénomène d'enclavement apparaît. Le but est donc de désenclaver certaines régions (Bretagne, Massif Central) en créant pour le premier de nombreuses voies rapides, pour le second en créant une autoroute reliant la capitale au sud de la France. [...]
[...] Il y a un phénomène de métropolisation. Métropolisation : La notion forgée par extension du terme métropole (la ville-mère) pour désigner un processus des transformations des grandes villes qui concentrent les fonctions de commandement des citadins vivent dans des agglomérations de plus de 200.000 habitants. L'agglomération parisienne compte habitants soit 1/7 des français, soit 13% de la population. Paris est une ville mondiale car son aire d'influence dépasse les frontières. ii. L'organisation des réseaux urbains Le réseau national est un réseau polarisé Un réseau urbain désigne un ensemble de villes qui sont reliées entre elles par des axes de communication. [...]
[...] Ces domaines souffrent actuellement d'une crise grave et sont obligés de fermer, ou de réduire les emplois. Une reconversion est donc difficile. Ils partent vers les régions du Sud parce qu'il y a un climat plus ensoleillé, une urbanisation moins forte et une industrie de pointe, beaucoup d'industries dans le secteur tertiaire. ii. Les migrations locales L'exode rural est la migration durable et définitive des ruraux vers la ville. On peut voir un triplement de l'activité industrielle en 30 ans ainsi que le développement des entreprises prestataires de services. [...]
[...] Il y a donc une diminution de la densité de population dans les centres-villes. Tandis qu'au contraire, les périphéries subissent une augmentation de la densité de population. En conclusion, les français bougent beaucoup ! Ils multiplient les déplacements de courtes distances. b. Les migrations internationales i. La France, une terre d'accueil Le niveau d'immigration est faible mais il n'est pas nul. On fait rentrer de la main d'œuvre qualifiée, des réfugiés politiques, d'autres habitants des pays de la CEE. Une politique de regroupement familial est mise en place, c'est-à-dire que nous acceptons les conjoints des travailleurs. [...]
[...] La surface agricole donc diminue. iii. Phénomène de city Cela concerne les centres-villes qui étaient essentiellement résidentiels avant. Ils sont devenus inaccessibles à de nombreux citoyens surtout actuellement car le prix de l'immobilier a augmenté très fortement. De nombreux logements se vident à cause de l'augmentation de la population, des odeurs, du bruit ainsi que du manque d'espace. Ce sont donc devenus maintenant des espaces où se sont développés le secteur tertiaire, c'est-à- dire les entreprises prestataires de services (banques, assurances). [...]
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