Depuis 1989, c'est-à-dire depuis la chute du communisme et la disparition du monde bipolaire, le monde assiste à une nouvelle organisation économique et sociale, et à la mise en place d'un système monde fondé sur une économie marchande, capitaliste et libérale. La mondialisation met en relation les différentes parties du monde par des échanges, mais aussi par l'internationalisation de la production qui multiplient les flux. Si la mondialisation est un processus d'intégration croissante des différentes parties du monde, elle accentue les contractes, les inégalités entre le Nord et le Sud, entre pays développés riches qui organisent et contrôlent les échanges, et les pays pauvres qui en sont le plus souvent exclus. La mondialisation est cependant contestée, elle s'accompagne de tensions, de contestations alter mondialistes. Si 29% des pays les plus riches disposent de 80% des richesses mondiales, alors qu'ils ne regroupent que 16% de la population mondiale, à l'opposé, 40% les pays les moins avancés (PMA) ne disposent que de 2% des richesses mondiales mais représentent plus de 20% de la population mondiale.
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C'est un essor constant, accru et rapide. Il existe des flux de capitaux, de produits marchands, de services, migratoires et d'information. Ces flux invisibles sont centrés dans 3 grandes places financières : Wall Street : à elle seule, elles réalisent 72% des transactions boursières mondiales ; bourse de Kabuto-Cho à Tokyo (Asie) ; bourse de Londres. Ces 3 sphères concentrent les ¾ des flux de devises et d'investigations, environ 1500 milliards de dollar/jour. A l'heure actuelle, c'est un marché déréglementé, les Etats n'ont plus de pouvoir sur ces échanges. Le danger de cela est de voir apparaître des bulles spéculatives. Ce phénomène affecte entre autres les prix fonciers et ceux des valeurs immobilières. Le marché devient donc instable, les économies nationales sont fragilisées. Cette spéculation se fait au détriment des achats à long terme qui permettent d'innover et de lutter contre le chômage. Les firmes multinationales et transnationales sont notamment en cause, au même titre que les particuliers. Cette sphère géofinancière fait apparaître 3 pôles financiers, qui se trouvent essentiellement dans l'hémisphère nord. Ce sont les 3 pôles de la Triade (Amérique, Europe et Asie) Il y a des paradis fiscaux : ce sont des états qui offrent des avantages fiscaux. Les firmes transnationales investissent beaucoup à l'étranger : IDE (investissement direct à l'étranger) (...)
[...] L'ALENA est en concurrence avec l'Union Européenne. En Amérique, il existe un projet de regroupement entre l'ALENA et le MERCOSUR. Mais certains états d'Amérique sont réticents car il y a un état leader : le Brésil. Seul un continent manque encore d'organisation économique stable à l'échelle du continent : c'est l'Afrique. Il existe cependant 2 organisations de livre échange qui sont intra régionales : le CEDEAO Vers un monde uniforme du point de vue culturel La culture, c'est l'ensemble des connaissances acquises du savoir, des structures sociales, religieuses, des manifestations artistiques, intellectuelles, qui caractérisent une société et la différencie d'une autre société. [...]
[...] La conférence de Bali, qui s'est tenu du 3 au 14 décembre 2007, et qui a réunit 190 pays membres de l'ONU, a tenté de mettre en œuvre une feuille de route qui soit conduire à la signature d'un accord climatique d'ici fin 2009 réduisant les émissions de gaz à effet de serre. Elle doit être le prolongement du protocole de Kyoto, et pousser les Etats-Unis et la Chine à pousser cet accord. [...]
[...] La société et l'économie sont inégalitaires. Le revenu des 20% de brésiliens les plus riches est 32fois supérieur à celui des 20% de brésiliens les plus pauvres. Le Brésil est un NPI. Il appartient au MERCOSUR : c'est un marché commun de l'Amérique du Sud qui regroupe depuis 1991 le Brésil, l'Argentine, le Paraguay, l'Uruguay ; le Chili et la Bolivie ont signé un accord de libre- échange avec le Mercosur en 1996, le Venezuela et la Colombie se sont portés candidats. [...]
[...] Les pays du Nord sont le berceau de la révolution industrielle. La pollution n'est pas un phénomène récent, elle a démarrée lors de la révolution industrielle. Certains pays utilisent encore les énergies fossiles pour produire de l'électricité : centrale au charbon, centrale au fuel, au gaz, à l'uranium, une énergie non renouvelable. Les énergies sont utilisées pour produire des matières premières. L'agriculture est également responsable car elle est souvent intensive, productiviste. L'élevage industriel aussi. Ce sont surtout les centrales thermiques qui sont responsables de la forme émission de CO2 (environ 1000tonnes de CO2 par giga watt heure) alors qu'une centrale nucléaire émet 8 tonnes par giga watt heure. [...]
[...] Le monde est pluriculturel et pluriethnique. Il est possible de regrouper certaines civilisation en une même famille ; les civilisations occidentales, orthodoxe peuvent être regroupé dans la même civilisation : dans la civilisation chrétienne. La civilisation chrétienne regroupe les religions catholiques, orthodoxes, protestantes. La communauté juive est à l'écart en raison de la diaspora. Il a y d'autre part la civilisation islamiste, bouddhiste, hindouiste, musulmane et islamique. Enfin, le confucianisme et le shintoïsme sont des religions philosophiques qui sont essentiellement présentes en Asie, et l'animisme présent en Afrique subsaharienne. [...]
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