La France, figure emblématique de l'Union européenne avec l'Allemagne et le Royaume-Uni, se place au 5ème rang mondial en terme de puissance industrielle (pays dominant, influent et puissant dans l'ensemble des activités humaines liées à la production de biens) et au 2ème rang à l'échelle européenne. Elle est devancée de loin par les géants américains, japonais, chinois mais aussi allemands. Le secteur de l'industrie (secteur secondaire) génère plus de 5 millions d'emplois en France mais accuse un déficit budgétaire de plus de 50 milliards d'euros (...)
[...] Cette hausse de production est liée à la modernisation des activités mais aussi à la qualification accrue des employés. Enfin, l'évolution du secteur tertiaire a entrainé le déclin croissant du secteur secondaire (les services étant de plus en plus présents dans les industries). En conclusion, la France est, certes, encore une grande puissance industrielle mais le taux de croissance quasiment nul de notre industrie et l'ascension fulgurante de nouveaux pays émergents sur le marché industriel semblent nous montrer que la France ne sera plus un acteur majeur du secteur industriel à l'échelle mondiale dans les années à venir. [...]
[...] La France, faisant partie de l'Union Européenne, bénéficie d'accords communautaires favorisant les échanges au sein de cette Union. Le partenariat européen représente 68% des échanges de notre pays, et les 32% restant sont destinés au reste du monde. On constate que la France n'est pas assez tournée vers le reste du monde même si des efforts d'intégration sont faits. Certains pays émergents (comme la Chine ou le Brésil) pourtant de grands acteurs dans l'importation et l'exportation à l'échelle mondiale, commercent peu avec la France. [...]
[...] La France se vide de son industrie. En cause la délocalisation vers des pays émergents où la main d'œuvre est moins chère que dans l'hexagone et où les fiscalités et les réglementations liées au travail sont plus attractives. Les premiers secteurs touchés sont les secteurs de l'industrie lourde (sidérurgie, métallurgie) où la production est de faible valeur et où le prix de la main d'œuvre française est particulièrement élevé. L'industrie de la main d'œuvre (confections, textiles ) est elle aussi touchée par cette crise de l'industrie traditionnelle. [...]
[...] La France est-elle encore une grande puissance industrielle ? La France, figure emblématique de l'Union Européenne avec l'Allemagne et le Royaume-Uni, se place au 5ème rang mondial en terme de puissance industrielle (pays dominant, influent et puissant dans l'ensemble des activités humaines liées à la production de biens) et au 2ème rang à l'échelle européenne. Elle est devancée de loin par les géants américains, japonais, chinois mais aussi allemands. Le secteur de l'industrie (secteur secondaire) génère plus de 5 millions d'emplois en France mais accuse un déficit budgétaire de plus de 50 milliards d'euros. [...]
[...] Le premier secteur contribuant à ce développement est celui de l'industrie agroalimentaire. En effet, avec un chiffre d'affaires de plus de 150 milliards d'euros et avec plus de salariés travaillant dans l'agroalimentaire, la France se place comme le premier pays exportateur de produits alimentaires transformés provenant de l'agriculture, de l'élevage et de la pêche. L'industrie agroalimentaire domine largement les autres activités industrielles en France, devançant de loin l'industrie automobile. Forte de ces 2 grands constructeurs français (PSA Peugeot Citroën et Renault), la France occupe le 9ème et le 12ème rang mondial des plus grands constructeurs automobiles, loin derrière les géants japonais (Toyota Motors, Honda, Nissan Motors), américains (General Motors et Ford) mais aussi allemands (Volkswagen, Daimler AG). [...]
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