Selon un rapport des Nations Unies, 9 pays, dont la Chine se partagent 60% du débit annuel mondial de l'eau. Mais la Chine possède un immense territoire de plus de 9millions de km² sur lequel vit 1,3 milliard d'habitants : le quart de la population mondiale.Elle ne détient pourtant que 7% des ressources hydriques de la planète.
C'est aujourd'hui la troisième puissance économique mondiale, après les États Unis et le Japon, et elle continue son développement au détriment de ses ressources naturelles.
Aujourd'hui, la Chine doit faire face à une crise de l'eau douce de plus en plus importante du fait d'une mauvaise gestion, de surexploitation, de pénuries et de pollutions de cette ressource.
En effet, l'urbanisation rapide ainsi que l'industrialisation exercent une pression constante sur la ressource en eau, faible et mal gérée : la production d'eaux usée augmente.
Les villes et les campagne manquent alors d'eau, les nappes souterraines sont surexploitées, les rivières sont de plus en plus polluées.
Les citoyens chinois ont trop souvent tendance à penser que cette détérioration de leur milieu naturel est le prix à payer pour croître économiquement, mais, les autorités centrales du pays ont en revanche tendance à la prise de conscience des risques encourus sur l'économie et la qualité de vie.
[...] C'est aujourd'hui la troisième puissance économique mondiale, après les États Unis et le Japon, et elle continue son développement au détriment de ses ressources naturelles. Aujourd'hui, la Chine doit faire face à une crise de l'eau douce de plus en plus importante du fait d'une mauvaise gestion, de surexploitation, de pénuries et de pollutions de cette ressource. En effet, l'urbanisation rapide ainsi que l'industrialisation exercent une pression constante sur la ressource en eau, faible et mal gérée : la production d'eaux usée augmente. Les villes et les campagne manquent alors d'eau, les nappes souterraines sont surexploitées, les rivières sont de plus en plus polluées. [...]
[...] II- La politique chinoise et l'eau 1 Des solutions mises en oeuvre. Les inondations et les sécheresses sont des évènements qui font parties de l'histoire de la Chine. Les empereurs chinois ont dû faire preuve d'imagination pour trouver des moyens de contrôler ces catastrophes naturelles hydrauliques. L'irrigation arriva il y a ans en Chine dans le but de contrôler ces catastrophes et de distribuer l'eau à des terres privées : l'irrigation de l'agriculture fonde en grande partie la civilisation chinoise. [...]
[...] Autrefois certains fleuves provoquaient d'immenses inondations alors qu'aujourd'hui ils ne sont plus que de mince filet d'eau. Pour combler ce déficit, les autorités puisent dans les aquifères, provoquant l'épuisement des ressources en eaux souterraines : elles se vident alors plus vite qu'elles ne se régénèrent. En l'espace de 40ans, certaines nappes phréatiques ont baissé de 50 à 90 mètres : l'eau salée peut alors s'infiltrer dans les sols ce qui provoque l'affaissement du sol de villes comme Pékin, Shanghai et Tianjin. [...]
[...] En effet, tout d'abord, le barrage va induire le déplacement de près d'un million et demi d'habitants, relogés aux frais de l'État pour la plupart d'entre eux. De plus la population qui n'a pas à être déplacée, mais qui vit tout de même près du site où le barrage s'est construit, craint l'effondrement de leur maison et subit déjà des conséquences visibles comme les fissures sur leurs murs. D'autre par les scientifiques évaluent des conséquences manifestes d'un autre type, sur le plan environnemental cette fois. [...]
[...] C'est un projet à l'échelle continentale qui vise à corriger la nature en détournant une petite partie des eaux du bassin du Yangtsé/ Yangzi Juang/ Fleuve bleu (au sud) pour alimenter la plaine de Chine du Nord et plus particulièrement les deux grandes villes qui manqueront durablement d'eau les décennies prochaines, Pékin et Tianjin. Ce projet remonte aux années 1950, mais fut rapidement abandonné, avant d'être remis secrètement à l'ordre du jour dans la seconde moitié des années 1970. Trois tracés étaient alors évoqués . Le premier, appelé tracé oriental consiste en une remise en service du Grand Canal construit en 605, rallongé au XIVe siècle, puis détruit dans sa partie centrale en 1855 par une énième divagation du fleuve Jaune ( Huang He au Nord ) qui repassa au nord du Shandong. [...]
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