Le développement économique en régions francophones du Nouveau-Brunswick

Thèmes abordés

Grand Tracadie, régions francophones, Nouveau-Brunswick, Pokemouche, Péninsule Acadienne, Canada, Tracadie-Sheila, développement économique

Résumé du document

La période que je tente d'examiner englobe la fusion des municipalités de Tracadie et Sheila devenant ainsi Tracadie-Sheila en 1992 et se termine avec les débuts du projet de regroupement de la ville de Tracadie et de 18 DSL l'entourant ayant pour nom temporairement prévu pour 2014 du Grand Tracadie. Ma documentation devra donc majoritairement être basée sur les articles de journaux, les relevés économiques et les archives municipales. Comme sources secondaires, ce seront des parties de textes, survolant la ville en question, retrouvées dans des recueils ayant pour sujets principaux la péninsule acadienne ou les régions francophones du Nouveau-Brunswick qui concluront mes résultats

Extraits

[...] Celui-ci changea, entre autres, les valeurs éducationnelles pour les francophones. La démographie de la région tracadienne sut diminuer entre les années 1881 et 1891. En fait, elle passa de la démographie la plus importante des trois grandes villes péninsulaires à la dernière. Les auteurs expliquent ce fait à une perte de territoire et à un certain exode migratoire[3]. Conclusion Quels blocages ralentirent Tracadie de prospérer et de s'épanouir afin de devenir un centre urbain important du Nouveau-Brunswick au tournant du XXIe siècle ? [...]

[...] Pour la région, on parle ici des enseignantes et des infirmières. Les personnes détenant un métier de niveaux collégial ou universitaire étaient originaires de régions extérieures à la péninsule ou avaient été étudiées ailleurs et sont revenues. La plupart étaient originaires du Québec puisque la région était majoritairement francophone. La politique était importante même en région rurale. En fait, il était important, non seulement de se faire représenter par un francophone au niveau provincial, mais aussi par un Acadien de préférence. [...]

[...] Je m'en servirais donc d'appuie historique démontrant le développement de la région avant l'importante fusion. Afin d'appuyer mes résultats de recherche pour cette période, j'ai choisi d'étudier un document d'archives ayant des fins historiques généraux de la région. Le compte-rendu de ces deux ouvrages, regroupant au total environ 130 pages, sera supporté par d'autres informations provenant de différentes sources généralisant des données de la région comme telle. Je tenterai, d'ailleurs, de déterminer si ce fut un développement positif qui amena les différentes idées de regroupement ou si ce fut en but de favoriser le développement urbain et économique de la région que ces idées furent proposées et acceptées par la population. [...]

[...] Cela remonte peut-être au temps des colonisateurs menant à la déportation des Acadiens, majoritairement des francophones habitants le Nouveau-Brunswick. Plusieurs hypothèses pourraient mener à différentes recherches permettant de déterminer les différences de cultures françaises et anglaises face à leur évolution sur le continent de l'Amérique du Nord. Cependant, pour cette recherche, seul le développement démographique et économique de la région de Tracadie m'intéresse. En ce qui a trait à l'importance de ce manuel historique par rapport à mon travail de recherche, malgré ma connaissance générale de ma ville natale, il m'est important de recueillir le plus d'information que possible afin de déterrer de la pertinence dans mes sources. [...]

[...] Cette dimension sera donc importante à étudier pour l'écriture de ma dissertation afin de mieux comprendre les éléments retardataires de l'évolution et du développement de la ville de Tracadie, entre autres. Sous un même ordre d'idée, un relâchement politique face au nord-est du Nouveau-Brunswick fut décelé dans la première partie du XIXe siècle. Les auteurs dénoncent la disparité religieuse entre le gouvernement provincial protestant et la religion catholique majoritairement présente dans la péninsule[2]. La pêche, le bois et l'agriculture formèrent l'économie de Tracadie. Ce sont là, des métiers ruraux permettant de réaliser l'importance rurale des alentours de la ville. [...]