Défis démographiques, croissance, transition, densité humaine, répartition géographique de la population
La terre vit une situation inédite : 6 milliards et demi d'hommes sur 130 milliards de km◊. Jamais la terre n'avait compté d'États milliardaires : la Chine (1,6 milliard), L'Inde (1,2 milliard). Jamais les populations du monde n'ont présenté une espérance de vie aussi longue. Au XXe siècle, l'espérance de vie a doublé et en 2050 tous les humains pourraient prétendre à dépasser les 70 ans en moyenne; actuellement ils viennent de dépasser les 65 ans d'espérance de vie. Jamais la croissance démographique n'a été aussi forte sur la terre: chaque année la population augmente de 80 millions, ce qui fait 1,3% de taux de croissance. La croissance forte va durer jusqu'en 2075 et la planète devrait compte un peu plus de 9 milliards d'habitants. Après il devrait y avoir stabilisation. D'après le FNUAP (fonds des nations unies pour les populations), jamais la croissance n'a été aussi différenciée entre les régions très peuplées et les régions vides. Le peuplement se concentre sur certaines régions pendant que d'autres se vident. + de 3milliards d'habitants sont métropolisés et l'écart entre les régions à forte croissance et à faible croissance ne cesse d'augmenter.
[...] La théorie du régime démographique contemporain (élèves d'Alfred Sauvy; Jean Claude Chesnais, Dupâquier). Une géographie mondiale de la transition démographique Daniel Noin dit que l'on peut distinguer via les données de l'ONU et de la banque mondiale où se passe la transition: Les régions qui connaissent la phase d'élévation: deux types [ Populations où les taux de mortalité infantile sont excessivement élevés + populations où le taux de mortalité diminue et le taux de fécondité est très élevé]. Les régions qui conaissent la déccélération [stabilisation de la mortalité, fléchissement de la natalité: Chine, Pérou Indonésie Espaces de la post-transition [mortalité stabilisée, longévité considérable, taux d'accroissement faibles voire nuls/négatifs]. [...]
[...] La croissance aujourd'hui reste forte dans deux régions : - le proche et moyen Orient (du Pakistan à Palestine). Afrique sub saharienne ; Le recul général de la mort sur toute la planète Il y a eu une modification très rapide de la géographie de la mortalité. La mortalité reste très élevée en Afrique sub saharienne (14/1000), reste forte mais décline en Amérique latine (6/1000) et s'effondre ne Asie (8/1000). Ce recul est dû à deux transformations : desserrement de la contrainte alimentaire les progrès sanitaires en amérique du nord et en Europe on observe que le recul de la mort se combine à une transformation sociale, que l'on appelle la transition épidémologique et sanitaire : elle se retourne contre les régions développées du monde, puisque dans les PMA les maladies infectieuses expliquent 40% de la mortalité, et dans les pays du Nord : mortalité ( par contre les cancers et maladies cardio vasculaires expliquent % de la mortalité). [...]
[...] La croissance forte va durer jusqu'en 2075. et la planète devrait compte un peu plus de 9 milliards d'habitants. Après il devrait y avoir stabilisation. FNUAP : fonds des nations unies pour les populations; Jamais la croissance n'a été aussi différenciée entre les régions très peuplées et les régions vides. Le peuplement se concentre sur certaines régions pendant que d'autres se vident. + de 3milliards d'habitants sont métropolisés et l'écart entre les régions à forte croissance et à faible croissance ne cesse d'augmenter. [...]
[...] Les déserts sont hostiles mais ils peuvent être peuplés vers les oasis (Moyen Orient, Egypte). Les facteurs tiennent d'abord à l'histoire, la civilisation, le mode de vie et la logique d'oganisation économique dans l'espace. Le paradoxe actuel est le contraste entre ces quelques regroupements denses, les vides autours, et la forte croissance de la population (cela implique par exemple la question des services publiques en France dans le Languedoc, y'a rien à foutre et pourtant . Surpeuplement et sous peuplement Il n'existe pas de densité idéale. Une population n'est pas bien ou mal répartie! [...]
[...] (Limites de la prospectives : aberrations à long terme). Trois tendances lourdes Elles sont en interaction, et directement liées au niveau de développement économique des régions ou des sous continents ; Une baisse générale de la fécondité Fait universel, durables, constant, amorcé en Europe dès 1830, et touche Amérique latine depuis 1960, Asie depuis 1970, et en Afrique sub- saharienne depuis 1990. C'est un processus complexe, qui dépend d'abord du changement social, fortement de l'évolution de IDH. Intègre mécanismes tels que l'urbanisation, le PNB des Etats, et une survie des enfants à la naissance qui va en progressant. [...]
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