L'eau douce est une ressource qui est de plus en plus utilisée. Sa rareté étant croissante, sa possession devient encore plus vitale. C'est en ce sens que la gestion de l'eau est devenue une priorité au cours du XXe siècle.
La carte choisie est tirée du site « le Monde Diplomatique » et a pour auteur Philippe Rekacewicz, géographe, cartographe et journaliste français. Elle présente les réserves en eau en Afrique du Nord et dans le Sahel ainsi que les principaux transferts et utilisations de celles-ci.
Elle nous permet de répondre à la question suivante : Comment est envisagée la question de l'eau dans les pays du Sahara ?
[...] En effet, le Maroc connaît des périodes de sécheresse intense et la pluviosité y est généralement assez faible : par an, on dénombre en moyenne 30 journées de pluie dans le sud du pays et 70 dans le nord. L'inégale répartition des pluies, à la fois dans le temps et dans l'espace, a conduit le Maroc à se lancer dans la construction de grands barrages réservoirs afin de stocker les apports des années humides et de les utiliser lors des années sèches, mais également pour réaliser des transferts d'eau des régions abondamment arrosées vers les régions déficitaires en eau, l'objectif étant de favoriser un développement économique et social équilibré dans tout le pays. [...]
[...] C'est en ce sens que la gestion de l'eau est devenue une priorité au cours du XXe siècle. La carte choisie est tirée du site le Monde Diplomatique et a pour auteur Philippe Rekacewicz, géographe, cartographe et journaliste français. Elle présente les réserves en eau en Afrique du Nord et dans le Sahel ainsi que les principaux transferts et utilisations de celles-ci. Elle nous permet de répondre à la question suivante : Comment est envisagée la question de l'eau dans les pays du Sahara ? [...]
[...] Par ailleurs, le Sénégal dont les cultures sont tropicales (couleur orange sur la carte) semble nous renseigner sur la situation des pays situés plus au sud, et par conséquent plus éloignés des contraintes du Sahara. [...]
[...] De plus, on note que ce système de barrages a permis l'industrialisation du pays, notamment au niveau des côtés où les pôles industriels se multiplient. Entre l'utilisation intensive des eaux souterraines non renouvelables et l'exclusion totale de cette pratique, il peut y avoir un compromis. C'est ce compromis qu'ont choisi d'adopter la Mauritanie, la Tunisie et l'Algérie. f. Algérie, Tunisie et Mauritanie : le compromis La Mauritanie, pour commencer, se voit dotée d'une population très peu nombreuse qui s'élève à environ 3 millions d'habitants. [...]
[...] Il doit boire environ 2,5 litres d'eau par jour pour compenser les pertes. Il est donc évident que chaque être humain a conscience de l'importance de l'eau pour la préservation de sa santé et de sa vie. C'est sans compter les besoins de l'agriculture et de l'industrie. Dès lors, l'exploitation de l'eau est un enjeu fondamental en Afrique du Nord où les territoires s'inscrivent en grande partie dans le milieu sec et aride du Sahara. Cette carte nous permet de rendre compte de la situation critique de la région en matière de ressources en eau : des pays en majeure partie installés dans un désert se doivent pour leur survie de trouver un moyen de s'alimenter en eau. [...]
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