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- On remarque un grand contraste entre quelques immenses propriétés et nombres de petits domaines qui occupe une minuscule partie du territoire. C'est le cas au Brésil, en Colombie ou par exemple pour le Pérou, 0.1% des exploitations représentent au moins 62% du territoire.
- Les latifundios ou haciendas sont tournées vers l'élevage très extensif. La structure agraire est fossilisée et ne bouge pas depuis l'époque coloniale. Les domaines sont si immenses que pour être immensément riche les propriétaires n'ont pas besoin de cultiver toutes leurs terres.
- Parfois ces grands domaines appartiennent à des multinationales étrangères qui tournent les productions vers l'exportation, ce qui permet une modernisation avec le dév de l'agro-industrie et de l'agroalimentaire qui créent de la valeur ajoutée et une mécanisation lorsqu'elle est possible.
- En opposition il y a des minifundios, qui sont assimilables à des parcelles plus qu'à des exploitations. Ces terres n'étant pas assez nombreuses pour le nombre de personnes, cela réduit les paysans à la misère.
- On assiste à la formation de mvt syndicaux, militant qui s'organisent pour qu'il n'y ait plus de paysans sans terres (...)
[...] - On espère qu'une partie de l'argent aidera au développement du pays. Certains pays ne connaissent pas de réforme agraire comme par exemple le Brésil où des groupes armés défendent les propriétés. - Depuis les années 90 l'idée de réforme agraire est remise en cause tout d'abord car tout les pays sont aidés. Par ex par le FMI qui impose des plans d'ajustement structurel qui sont d'essence libérale (opposé aux réformes agraires). - Ensuite car les réformes agraires sont mal adaptées au développement d'une filière agroalimentaire tournée vers l'exportation. [...]
[...] Géographie des espaces agricoles Cf Carte : Les Principaux types d'espaces agricoles en Amérique Latine. Explication de carte : But = montrer diff espaces donc figurés de surface. Vert = logique pour forêt Villes et conflits = lieux précis = figurés ponctuels - On remarque une opposition entre culture vivrière et commerciale. Prêt des cotes on a l'agriculture commerciale et à l'intérieur des terres des élevages extensifs. Cette opposition crée des zones de conflit. - On remarque une superficie agricole importante en réserve avec la forêt amazonienne et la création de fronts pionniers. [...]
[...] Les cultures redeviendront alors extensives et non pas vivrière et le problème reviendra en son point de départ. Nourrir ou exporter : quelle politique agricole ? On peut également noter un développement du narcotrafic puisque la coca existe à l'état naturel dans ces pays et c'est un bon moyen de gagner de l'argent. Conclusion : L'agriculture est un bon test du développement du l'Amérique latine. L'enjeu majeur aujourd'hui est la politique agricole : exporter ou nourrir les populations il faut choisir. [...]
[...] - Pour se développer les pays ont besoin de machines. Une substitution d'exportation a donc était mise en place, mais des termes inégaux peuvent enrayer le système. En vue de la barrière douanière les pays développés préfèrent s'implanter dans les pays pour éviter l'exportation. Ex : Volkswagen La terre et les hommes facteur de mal développement L'héritage du passé colonial : grand domaine et micro exploitation - On remarque un grand contraste entre quelques immenses propriétés et nombres de petits domaines qui occupe une minuscule partie du territoire. [...]
[...] - Mais la mondialisation a des effets diverses en Amérique latine. Par exemple avec la libéralisation on peut importer des produits moins chers malgré le transport que les produits locaux, ce qui ruine la paysannerie locale. - Certaines régions sont favorisées comme la vallée de l'Urubamba et son mais des Incas exporté aux USA pour le pop-corn. Ce qui permet une plus forte scolarisation, des maisons plus grandes etc On peut aussi remarquer le développement du commerce équitable. Problèmes et enjeux contemporains de l'agriculture latino-américaine. [...]
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