Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale en 1945, l'Asie orientale a pris son envol petit à petit avec tout d'abord le Japon qui s'est relevé de cette guerre très destructrice dans son cas, puis les « dragons » (Corée du Sud, Taiwan, Hong-Kong et Singapour), les « bébés tigres » ont suivis avec la Malaisie et la Thaïlande et enfin la Chine. Cette zone se compose maintenant de la deuxième (le Japon) et quatrième (la Chine) puissance planétaire.
L'Asie orientale comprend un tiers de la population soit deux milliards d'habitants avec 1.3 milliard rien que pour la Chine créée en 1949 dont plus de 500 millions pour le littoral chinois où les densités de population dépassent allègrement les 500 habitants au kilomètre carré. Pour la deuxième puissance mondiale, il faut compter 130 millions d'habitants sur l'archipel.
Comment cette zone est-elle devenue un pôle de la Triade ? Quels sont les aspects de la puissance de cette aire ? Quels sont les facteurs et les limites de l'Asie orientale et de sa puissance ?
[...] Ainsi un employé est payé jusqu'à dix fois moins que le salaire minimum français (1337 brut en 2009) tout en économisant encore sur les avantages sociaux inexistants dans ces pays mais aussi la possibilité de les faire travailler plus de huit heures par jour des adultes mais aussi bien des enfants. Enfin étudions la littoralisation qui se trouve être bénéfique pour l'économie et la puissance de ces pays d'Asie orientale. La population, nous l'avons vu, se trouve principalement sur les littoraux. [...]
[...] Autre limite jouant dans la disparité du territoire : la différence dans les régimes politiques. En effet, nous trouvons à Singapour, ville état, un régime autoritaire alors qu'au Japon, nous trouvons une démocratie parlementaire, en Chine un régime autoritaire et une démocratie en Corée du Sud. Ces éléments contribuent à une mésentente et donc l'absence d'accords forts pour le développement de la zone dans son intégralité. Enfin, terminons ce devoir par étudier les risques de voir les pays désertés par les industries délocalisantes. En effet, les entreprises plébiscitent les réductions de coût de main-d'œuvre. [...]
[...] Autre aspect de puissance pour cette zone, le côté économique et financier. En effet, cette zone possède un Produit Intérieur Brut (PIB) qui n'arrête pas de monter et avec une croissance souvent à deux chiffres. Par exemple, les quinze points annuels de croissance pour la Chine quand la France atteint péniblement les 2.1 points. Ce propos est toutefois à nuancer car le Japon ne connaît pas cette situation et est bien plus sensible aux crises que ne l'est la Chine ou les autres pays en plein boom de croissance. [...]
[...] Nous avons aussi vu les facteurs de cette puissance qui sont le développement en vol d'oies sauvages une population servile et peu rémunérée et une littoralisation bénéfique pour l'intégration dans le système-monde. Enfin les limites de la zone sont le manque d'unité et le risque d'un développement qui conduirait à une hausse des salaires et donc des délocalisations. Nous pouvons donc nous demander quel serait l'avenir de cette zone ? Comment réagira-t-elle face au contexte de crise économique actuelle ? [...]
[...] Nous avons donc pu voir les aspects de la puissance de l'aire d'Asie orientale. Venons-en maintenant aux facteurs qui ont conduit au développement et au résultat actuel avec l'étude du développement en vol d'oies sauvages une population servile et parfois bien qualifiée et enfin une littoralisation bénéfique. Tout d'abord, commençons par étudier le développement en vol d'oies sauvages Cette méthode s'inspire, comme son nom l'indique du vol des oies sauvages. Dans ce système-ci, il y a une oie qui abrite le reste de son groupe du vent, elle les met à l'abri. [...]
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