Fiche de révision pour le CAPES.
Source: Hervé Vieillard-Baron,Les Banlieues, des singularités françaises aux réalités mondiales, Paris, Hachette Supérieur, 2001
[...] 1982-90 : solde migratoire banlieues positif/ négatif dans villes centres. 1990-1999 : inversion : négatif dans banlieues, positif dans villes- centres : ZAU, zonage en aire urbaine, prend en compte le périurbain, définit espace à dominante urbaine, constitué des pôles urbains (unité urbaine ayant au moins emplois sur son territoire), des couronnes périurbaines (entoure le pôle, chaque commune envoie au moins de ses actifs travailler dans le pôle) et des communes multipolarisées. Contenu centré sur emploi et non sur morphologie ou démographie communes dans les couronnes périurbaines françaises aires urbaines en France (pôle urbain+ couronne périurbaine) aire urbaine Paris : 1990 : 10,3 M habts ; 1999 : 10,6 M. [...]
[...] Attention : la croissance de Toulouse (1982 : habitants ; 1990 : 650 000) est surtout due à l'incorporation de 11 communes nouvelles dans l'agglomération. L'évolution démographique des banlieues depuis : M urbains ; 1999 : 43,1 M (aux délimitations de 1990). Baisse du nombre de communes rurales, dont les 2/3 ont moins de 500 habitants. Etalement urbain. Donc population des banlieues (agglomération ville centre) a augmenté de entre 1975 et 1982, de entre 1982 et de de 1990 à : 15,5 M habts en banlieue : 20,3 M. (à territoire constant, seult + habitants entre 1990 et 1999). [...]
[...] Les définitions récentes dépendent de catégories et de données statistiques Historique de la construction des notions administratives. 1ers recensements fiables sur la commune en : 25% d'urbains. (définition urbain: + de habts agglomérés au chef lieu). Pb auj : 2000 habts = gros bourg et non petite ville de pop° urbaine depuis : tend à se stabiliser auj : unité urbaine : ville isolée ou agglomération multicommunale : ZPIU (pas + de 200m entre 2 maisons, sf si séparées par terrains à but public), prenant en compte urbanisation diffuse et attrait de la campagne. [...]
[...] Existence d'un territoire intermédiaire, l'espace des nécropoles et tombeaux. Ex : à Reims, les nécropoles montrent la limite du bâti. Qd bannissement, pas dans la ceinture périphérique mais au-delà des limites sous dépdce de la ville. Rattachement de la banlieue à la ville comme couronne défensive mais aussi source d'approvisionnement, dispersion ou ateliers d'artisans créant des nuisances (teinturerie Notion de marche (zone frontalière) + pertinente que celle de limite claire. Jusqu'au X e accroissement par ajouts de noyaux et non par auréoles concentriques. [...]
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