Sciences politiques, Hard-power, soft-power, puissance militaire, puissance diplomatique, administration Obama, question palestinienne, administration clinton, axe du mal
La puissance : « Capacité d'imposer sa volonté à l'autre » (Raymond Aron). Capacité » de faire (le pouvoir), de ne pas faire (l'indépendance) et de faire faire (influence): nécessité de distinguer « hard-power » et « soft-power »
Si l'on part de cette définition, les USA sont bien devenus la puissance de la fin du XXe et du début du XXI et il n'est pas rare de parler pour eux de super ou hyperpuissance
[...] Partout dans le monde, ils concluent des alliances défensives avec leurs alliés. Doc 3 p 197 John Fitzgerald Kennedy dès son investiture en juin 1961 garde le cap de cette politique et sera se montrer ferme lors de la crise des missiles de Cuba en 1962 faisant reculer les soviétique mais ne parvenant pas à éliminer le régime de Fidel Castro. Le temps des incertitudes (années 1960-1980) Une image dégradée La guerre du Vietnam (1964-1973) remet en cause le leadership américain et entraine la rupture avec une partie de la jeunesse qui s'incarne dans une contre-culture revendicative comme le mvt beatnik, hippie. [...]
[...] Le tournant de la 2nd GM 4Avant Pearl Harbor Doc 4p 191 Des 1937 et l'invasion de la Chine par le Japon, Roosevelt met en garde les américains contre les menaces que fait peser le japon et l'Allemagne sur la paix et la stabilité. Toutefois, Roosevelt doit composer avec une opinion publique très majoritairement isolationniste : 95% des américains selon un sondage de 1937. Dès le déclenchement du conflit en 1939, Roosevelt convainc le congre d'accepter la vente d'armes à la France et au R-U sous certaines conditions. Loi en mars 1941, adoption de la loi prêts-bails qui autorise les USA à prêter des armements à tout pays dont la défense est nécessaire à leur sécurité. [...]
[...] Volonté de pacifier le monde en intégrant le plus grand nombre d'état dans le libre échange. Le congres républicain,lui, revient à un certain isolationnisme : il refuse de ratifier le traité sur l'interdicition des essaies nucléaires, les accords de Kyoto (1997) et le traité de rome instituant la cour pénal internationale ( 1998) Les conséquences du 11 septembre L'axe du mal A la suite des attentats du 11 septembre 2001, Georges W Bush réoriente la politique étrangère américaine. Il désigne certains états, la corée du nord, l'iran et l'Irak comme formant l'axe du mal avec leurs alliés qui seraient les groupes terroristes islamistes. [...]
[...] 11p180 Ronald Reagan est élu sur le slogan American Is back et entend faire reculer le communise, vu comme l'Empire du mal En Am latine, en Afrique et en Asie, les usa soutiennent les guérillas hostiles au communistes, comme en Afghanistan ou ils financent en 1979 pour soutenir le mvt pro communiste de Kaboul. RR décide de relancer l'effort militaire du pays avec l'IDS, rebaptisée Star Ward par les médias et qui provoque une forte augmentation du budget militaire. Il impose donc une course aux armements que l'URSS ne peut plus suivre. Gorbatchev arrivé au pouvoir en 1995, négocie avec les usa des accords sur le contrôle des armes nucléaires qui aboutissent aux accords de Washington en 1987. [...]
[...] Puissances et tensions dans le monde de la fin de la 1ere guerre mondiale à nos jours Chapitre 1 : Les chemins de la puissance : les USA et le monde depuis les 14 points du président Wilson. Introduction : La puissance : Capacité d'imposer sa volonté à l'autre (Raymond Aron). Capacité de faire (le pouvoir), de ne pas faire (l'indépendance) et de faire faire (influence) nécessité de distinguer hard-power et soft- power Si l'on part de cette définition, les USA sont bien devenus la puissance de la fin du XXe et du début du XXI et il n'est pas rare de parler pour eux de super ou hyperpuissance Comment les USA sont-ils devenus une grande puissance mondiale ? [...]
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