Diversité culturelle, monde arabe, arabo-musulman, population mondiale musulmane, Maschreq
Le monde arabe apparait comme monolithique à travers les médias alors qu'il existe une hétérogénéité culturelle, des divergences (maschreq-maghreb).
Le monde arabe présente l'intersection de deux régions : arabe-musulmane. Double appartenance qui permet de le qualifier d'arabo-musulman. Ne pas confondre ces deux notions, il y a des chrétiens arabes et des juifs arabophones dans cette région et les arabes qui sont autour de 350 millions d'individus représentent 20-25% de la population mondiale musulmane, qui compte approximativement 1,3 milliards d'individus.
Tous les musulmans ne sont pas des arabes, on parle de pays comme l'Indonésie par ex. Par contre, l'Iran, le Pakistan, l'Afghanistan, et les pays de l'ex-empire soviétique sont des pays musulmans sans être arabes.
[...] Les arts plastiques : fabriquent des bijoux en utilisant les lettres de l'alphabet, connus pour leurs tapis, poterie, etc. Les berbères et la politique d'arabisation en Algérie : Algérie est une république démocratique et populaire. Compte 36 millions d'habitants environ de cette population est arabophone, le reste est berbérophone. [...]
[...] Le rétablissement de l'honneur se fait par le sang. L'hospitalité est également une valeur importante -la littérature arabe, la musique, le cinéma (dominé par les égyptiens). Il faut distinguer entre la culture transnationale et la culture locale. La culture locale est particulière à chaque région, à la manière des dialectes. On parle également de la culture populaire qui se fonde sur la cuisine, les chansons populaires, etc. tout cela souligne la diversité dans l'unité d'où la complexité. L'aire d'expansion de la culture arabe : Définition de l'aire culturelle : territoire sur lequel une culture a pris naissance et s'est répandue. [...]
[...] C'était une langue parlée et non pas écrite, sauf chez les Touarek. Effort dans les années 90- 2000 pour créer une graphie à la langue berbère, mais qui a divisé le peuple pour la graphie à adopter. Certains voulaient les lettres arabes, d'autres latines, d'autres Touarek. Religion : la majorité des populations est SUNNITE MALACHITE. Il ya cependant de petites minorités KHARIDJITE chez les berbères de la région du Mzab, en Algérie ou l'ile Djerba en Tunisie, dans le jabal Nefoussa en Libye. [...]
[...] sont reprises pour dynamiser la langue berbère et la littérature berbère. Au moment de l'essor de la culture berbère, débat autour de la graphie : arabe, pour être plus proche de l'écriture sainte, celle du Coran, d'autres voulaient la latine. Au final, le Tifinnagh va l'emporter. -La religion : les berbères se convertissent à l'islam à partir du VIIème siècle. Conversion progressive qui dure jusqu'au IXème. Ils ont été païens, juifs ou chrétiens et ont au départ adopté des sectes des schismes musulmans, tels que le shiisme, khalijisme pour s'opposer aux conquérants arabes avant d'adopter massivement et définitivement le sunnisme de l'école malékite. [...]
[...] Par ex le culte des saints. Une grande partie des pratiques religieuses se passe autour des tombeaux de ces saints. (Le coté de la sainteté en islam est beaucoup plus développée dans le sunnisme.)Ces saints ont des dons oraculaires. Comme les Kurdes, les berbères sont très perméables au soufisme (secte composée d'hommes, qui accomplissent rituels pour entrer en transe et communiquer avec dieu. La plus connue est celle des derviches tourneurs. En Syrie, les kurdes ont le plus développé les sectes soufies. [...]
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