Gestion de l'eau, Chine, enjeux hydrauliques asiatiques, Yang Tsé Chiang, Huang He, Corée du Nord, Inde, Pakistan, Népal, Bhoutan, Bangladesh, Salween, Birmanie, Mékong, Laos, Cambodge, Vietnam, pollutions de l'eau, ressources en eau, environnement
Les Chinois sont de plus en plus pesants, avec des enjeux hydrauliques croissants, Château d'eau qui prend beaucoup d'eau et qui connaît des problèmes de distribution et de rétention d'eau pour alimenter des négociations politiques. Relief très marqué, 9,5 millions de kilomètres carrés : superficie de la Chine, 1,4 milliard d'habitants. L'eau est dans la partie Sud-Ouest du pays : les cours d'eau naissent dans l'Himalaya. Population dans la partie orientale du pays. Parti communiste qui fixe la gestion de l'eau, Pékin fixe les grandes lignes : très centralisé.
[...] Population dans la partie orientale du pays. Parti communiste qui fixe la gestion de l'eau, Pékin fixe les grandes lignes : très centralisé. Les ressources sont purement nationales : l'eau du pays irrigue l'intégralité du pays, potentiellement donneur d'eau. Climat : pays contrasté : sécheresse au Nord avec des vents asséchant transportant du loess et au sud : inondations de la pluie est concentrée entre juillet et août. Pression humaine sur les cours d'eau considérables : agriculture est l'une des sources de surexploitation des cours d'eau des terres sont irrigués pour la production de coton. [...]
[...] Donc il y a souvent des purges sauvages. On a endigué les cours d'eau, mais comme beaucoup de sédiments = surendiguement et les cours d'eau passent au-dessus des digues. Inondations et catastrophes naturelles importantes. Conséquence de la gestion des cours d'eau : pollution plus ou moins marquée en fonction de la dilution dans l'eau. Le fleuve jaune : le Huang He : plus de 5300 km, de nombreux barrages pour lutter contre les inondations et fournir de l'eau à l'agriculture et à l'industrie. [...]
[...] Relations entre la Chine et ses voisins immédiats. II. Relations entre la Chine et ses voisins immédiats Deux fleuves frontaliers avec la Corée du Nord (Yalu et Tuman) : pas de problème à part que ces deux pays polluent allègrement ces deux cours d'eau. Fleuve Amour avec la Russie : dans le passé, problèmes liés aux frontières mobiles, les fleuves se déplacent dans leur pleine alluviale, conflits politiques, car les terres changent de pays, les frontières ne sont pas nettes. [...]
[...] Au Nord-Ouest, Kazakhstan, Kirghizistan, avec Irtych : source en Chine, mis en place un canal pour irriguer le Sud, problèmes au Kazakhstan, pays déficitaires en eau de mettre en place des barrages, mais ne peut pas parce que la Chine est en amont. Au Sud-Ouest : l'Inde et le Pakistan, le Népal, le Bhoutan, le Bangladesh. Beaucoup de rivières naissent en Chine dont les affluents du Gange. Le Népal a de bonnes relations diplomatiques avec la Chine. Projet de la Chine sur le Brahmapoutre. Projet en suspens, car bonnes relations aussi avec le Bangladesh. Ce qui est différent avec l'Inde. L'Indus au Pakistan : la Chine a développé des barrages sur l'Indus qui nuisent au barrage du Pakistan. [...]
[...] Le Mékong : cinq barrages en projet côté chinois en plus des trois déjà présents. Problème d'approvisionnement en eau, Commission qui réunit tous les pays concernés. Pas d'opposition, car peu d'entente entre eux et problèmes de gestion de l'eau. Conclusion : la Chine régule l'eau et n'en fait qu'à sa tête, utilise le rapport de forces géopolitique et géoéconomique. La Chine est trop puissante donc le rapport de forces trop inégal. La Chine ne ratifie rien. Réchauffement dans l'Himalaya, diminution des apports en eau due à la fonte des glaciers à l'ouest. [...]
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