Géographie des richesses naturelles : L’eau

Thèmes abordés

Géographie, richesses, naturelles, eau, Terre, planète

Résumé du document

Facteur de vie, l'eau domine sur la planète, 70% de la surface de la planète est recouverte d'eau, mais beaucoup de problème d'eau, car 97% de l'eau est salée, donc impropre à la consommation, reste 3% d'eau douce, très inégalement répartie, inégalités de ressources, de risques : sécheresse, inondations,… L'accroissement démographique entraine aussi un manque d'eau, ce sont les mêmes pays qui sont des les deux situations. Nouvel afflux de population urbaine dans les pays en voie de développement, ce qui pose un problème d'eau.
Plus le niveau de vie augmente, plus le besoin en eau augmente, il y a une pression accrue sur les besoins en eau, à cela s'ajoute la pollution de l'eau, comme dans les nappes phréatiques.

Extraits

[...] Montée en puissance des activités récréatives sur l'eau, kayak sur la Seine. Mouvement de fond naissant : formes d'aménagement urbains différentes, l'eau est un moyen de faire la ville. L'eau est un catalyseur pour l'aménagement du territoire, ca transforme l'urbanité. Cours : Les conflits géopolitiques de l'eau Géopolitique : branche particulière de la géographie, fondée par Yves Lacoste : l'analyse des dualités de pouvoirs sur les territoires elles peuvent être entre deux états ou à l'intérieur d'un état. Pour la géopolitique de l'eau : A l'échelle d'un bassin hydrographique, pour les ressources en eau. [...]

[...] Il y a sur la planète une masse d'eau considérable mais l'eau utilisable est infime les sociétés humaines sont dépendantes de la ressource en eau et particulièrement en eau douce : 10 pays se partage 60% de la réserve en eau douce, le Brésil et la Russie sont les premiers. Dans les zones tempérées et équatoriales, il y a une grande quantité d'eau de ruissèlement mais la plupart de la population mondiale vit dans des régions arides ou semi aride, où le ruissèlement est limité. En plus de décliner, ces ressources en eaux sont abimées par la pollution. On estime qu'en dessous de 1000m3/Personne/an, on est dans une situation de rareté d'eau pouvant entrainée sécheresse et famine. D. [...]

[...] Mais ca ne peut résoudre les problèmes des pénuries d'eau à l'échelle du pays. La collecte de l'eau pourrait simplifier la vie des personnes qui vont chercher de l'eau loin, comme dans certains pays d'Afrique, cela pourrait recharger les aquifères. C'est le cas en Allemagne, en Californie, en Australie, en Israël, Diverses méthodes : percolation (lent) ou infiltration (rapide). Avantage : recharger les aquifères, on peut aussi recharger les nappes profondes, il y a moins de perte d'eau à cause de l'évaporation, mais elle doit être retraitée avant Au final, l'eau est une question d'éducation En particulier pour les villes, cela repose sur le comportement des pays riches et développés. [...]

[...] Certains barrages sont accompagnés de réservoirs pour récupérer les sédiments et fertiliser les champs. b. De la gestion du risque à la production énergétique et agricole Le Japon a misé sur l'hydrologie, l'enjeu de l'eau est un enjeu de développement. Les barrages ont servis à maximisé les terres de plaines disponibles, en les protégeant des aléas. Le Japon s'est doté de centrales hydroélectriques, la première en 1892, à coté de Kyoto, elle est consommée sur place, avec les progrès de la technique, elle sera exportée dans la totalité de l'archipel. [...]

[...] Lien charnelle entre les populations et le fleuve. Au Bangladesh, il perd toute sa connotation sacrée, il n'est plus sacralisé. Il sert pour la navigation, l'électricité, l'agriculture, Le problème : les inondations : régime pluviaux-nival, sensible aux aléas climatiques. Inondations les plus meurtrières sont au Bangladesh, pays plat au bord de l'océan. Construction du barrage Farakka, mit en place par l'Inde, pour développer le port de Calcutta, il lui faut de l'eau tout le temps, cela diminue la quantité d'eau pour le Bangladesh : fin de construction du barrage, le Bangladesh est inquiet des conséquences négatives car aussi déviation des eaux du Gange. [...]