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C'est une mer intérieure de 2,5 millions de kilomètres carrés : 4000 km Est-ouest, et 140 km pour sa plus petite largeur. Avec ses trois péninsules et ses îles elle est découpée en plusieurs petits bassins.
C'est la mer la plus fréquentée du monde car elle est ouverte sur l'Atlantique (Gibraltar) et sur l'océan Indien (canal de Suez) et aussi à cause de la plaisance.
La plupart des rivages sont entourés d'un amphithéâtre de montagne, donc ce sont les plaines littorales, étroites, qui sont le plus occupées (100 habitants au kilomètre carré).
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Les contraintes climatiques : des étés très chauds et secs.
Il y a des précipitations irrégulières, très violentes ce qui engendre des risques de sécheresse ou de crue.
La végétation est une forêt claire méditerranéenne (quasiment disparue), la garrigue, le maquis.
C'est un milieu à risque : danger d'incendies, de séismes. C'est un milieu qui n'est pas très facile pour l'homme mais il reste attractif grâce au soleil.
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Les Romains l'avaient appelée mare nostrum. C'était le seul monde connu : medium terrae.
Il y eut les Égyptiens, les Phéniciens, les Grecs, Romains, les Arabes.
C'est aussi l'endroit où se sont développés les trois religions monothéistes. Au XIXe siècle de Méditerranée redevient une terre de colonisation (les Européens colonisent le reste du monde). La Méditerranée est une interface entre le Nord et le Sud, elle a toujours été une zone de contact (échanges de marchandises, d'hommes). C'est une zone d'enrichissement mais aussi inéluctablement une zone de contrastes et d'affrontements (...)
[...] Est-ce que la rive sud est oubliée par le Nord ? En apparence oui, car actuellement il y a très peu d'investissements du Nord vers le sud, il y a peu de délocalisations industrielles (il n'y a pas de bourse sauve à Ankara et Istanbul). Il n'y a pas beaucoup d'investissements car il a une insécurité politique. Les seuls investissements sont touristiques pour un certain nombre de pays : le Maroc, la Tunisie, Égypte, la Turquie. Conclusion : en 1995 a lieu la conférence de Barcelone qui a réuni tous les pays méditerranéens de l'Union européenne, du Sud et de l'Est de la Méditerranée (PSEM). [...]
[...] C'était le seul monde connu : medium terrae. Il y eut les Égyptiens, les Phéniciens, les Grecs, Romains, les Arabes. C'est aussi l'endroit où se sont développés les trois religions monothéistes. Au XIXe siècle de Méditerranée redevient une terre de colonisation (les Européens colonisent le reste du monde). La Méditerranée est une interface entre le Nord et le Sud, elle a toujours été une zone de contact (échanges de marchandises, d'hommes). C'est une zone d'enrichissement mais aussi inéluctablement une zone de contrastes et d'affrontements Une fracture Nord-Sud En Méditerranée, on observe des équilibres démographiques, économiques, de développement a. [...]
[...] Les espaces développés, intégrés. C'est l'arc latin de l'union européenne : de Barcelone à Rome on observe 11 peuplements très denses et urbains. Il y a quatre grandes métropoles : Barcelone, gênes, Marseille, et Rome. Cet arc est totalement relié à l'Europe du Nord (transport, hydrocarbures). Il y a des industries lourdes, la haute technologie, une agriculture spécialisée à forte plus-value (fruits, légumes, fleurs), d'énormes complexes touristiques. À part cette partie il existe quelques points développés : la région d'Athènes, Israël, Chypre et Malte. [...]
[...] Par contre certains pays du Sud ont un IDH correct (Israël, chypre, île de malte) Conclusion : la Méditerranée est un bon exemple des fractures mondiales. On n'y trouve les trois groupes de pays : très développé, sous-développé (pauvre), en voie de développement Méditerranée : trait d'union ? Les échanges d'hommes et de marchandises ont toujours existé en Méditerranée : de très nombreux ports (comptoir Phéniciens, les Grecs, les Romains, les Italiens et les Arabes). a. Les flux migratoires Sud/Nord Le XIXe siècle jusqu'aux années 80 le roi du nord-ouest (France, Allemagne, Belgique) a été une région d'appel de main-d'oeuvre. [...]
[...] l'espace méditerranéen : une identité commune a. La mère, les rivages C'est une mer intérieure de 2,5 millions de kilomètres carrés : 4000 km Est- ouest, et 140 km pour sa plus petite largeur. Avec ses trois péninsules et ses îles elle est découpée en plusieurs petits bassins. C'est la mer la plus fréquentée du monde car elle est ouverte sur l'Atlantique (Gibraltar) et sur l'océan Indien (canal de Suez) et aussi à cause de la plaisance. La plupart des rivages sont entourés d'un amphithéâtre de montagne, donc ce sont les plaines littorales, étroites, qui sont le plus occupées (100 habitants au kilomètre carré). [...]
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