Noirs, blancs, conflits, Afrique noire, Afrique subsaharienne, tensions afrique, problèmes ethniques, afrique et division
L'Afrique subsaharienne est communément appelé « Afrique noire » par opposition à une Afrique blanche des pop° d'Afrique du Nord, du Maghreb à l'Égypte. L'immense majorité des pop° d'Afr subsaharienne est en effet composée de Noirs, parfois qualifié de « Négro-Africains ». Il existe cependant des minorités blanches, essentiellement en Afrique du Sud. Qu'il s'agisse du contact entre les deux Afriques, ou des relations entre Noirs et Blancs à l'intérieur d'États africain, la relation entre les deux groupes est complexe et parfois conflictuelle. Dans les régions sahéliennes, la mémoire collective garde le souvenir de la traite esclavagiste organisée par es Arabes ou les Maures. En Afrique australe, le régime d'apartheid, aboli seulement en 1991, a laissé des cicatrices encore très vives. Les séquelles du passé colonial sont loin d'être effacés, les rapports Blancs-Noirs restent tendus, comme l'a montré l'évolution récente du Zimbabwe, ce qui conduit à s'interroger sur l'avenir des pop° de souche européenne en Afrique du Sud.
[...] mais la réforme africaine piétine, et l'impatience monte. Des « communautés » noires entreprennent en nombre croissant des démarches judiciaires pour récupérer leur « patrimoine » mais les procédures devant les tribunaux sont lentes. Même si la revendication reste pacifique, on compte alors quelques centaines d'assassinats e fermiers blancs depuis 10 ans. Les autorités ne peuvent ignoré le précédent Zimbabwéen de 2000 ordonnées par Mugabe. En effet, la redistribution inconsidérée des terres s'est traduite par une catastrophe écoQ contraignant le Z à faire appel à l'aide alimentaire internationale. [...]
[...] L'agriculture commerciale est entre les mains d'environ fermiers blancs (superficie d'env comme par Tongaat-Huler controlé sur par l'Anglo-American, la mainmise sur toute le filière sucrière du KwaZulu-Natal. A-A qui a construit sa puissance dans l'activité minière est aussi présente dans les secteur du bois. La petite paysannerie africaine, elle, ne dispose que de toutes petites exploitations de l'ordre de 2ha en moyenne. La réforme agraire est apparue une nécessité écoQ et polQ pour le nouveau pouvoir détenue depuis 1994 par l'ANC, l'African National Congress. L'objectif officiel vise à restituer aux Noirs au moins 30% des terres arables du pays d'ici à 2014? [...]
[...] Dans les campagnes les redistribution des terres est encore loin d'être résolue Ville éclaté et repolis sécuritaires Les agglomérations urbaines sud-africaines se présentent comme une juxtaposition d'unités distinctes séparées par la distance ou des des obstacles physiques qui constituaient les buffer zones: emprises ferroviaires ou autoroutes . Ainsi, depuis la fin de l'apartheid de nouveaux suburbs, banlieues riches sont apparues face a des townships (tel Soweto à Johannesbourg) dans lesquelles le différence culturelle et de niveau écoQ sont encore grandes. Ainsi, la violence,sous-produit des déstructurations sociales, familiales engendrées par l'apartheid, fait partie du quotidien. Elle prend aussi pour cible les Blancs. De ce fait, une psychose sécuritaire s'est installé durablement parmi les pop° blanches: les gated communities sont nées. [...]
[...] On fermé les yeux quelques secondes et, quand on les a rouverts, ils avaient la terre et nous avions la Bible. » LA formation de l'Afrique du Sud, s'est en effet accompagné d'une spoliation massive des terres indigènes: Land Act de 1913, qui définit 10% de la superficie de USA. En 1936, le Native Trust and Land Act étend le territoire. Dans les années 1970, le gouvernement sud-africain misa sur la politique de ces bantoustans censés devenir des États « indépendants ». [...]
[...] Ses évolutions sont faites sans tension majeurs entre les communautés, surement grâce aux charisme de N. Mandela et au réalisme de Frederik de Klerk, qui assura la transition politique. Son successeur, Thabo Mbeki, a toutefois réussi à maintenir la concorde entre les communautés et à conforter les positions d l'A du S. III. De nouveaux facteurs Dans la foulée de la colonisation européenne, les migrants originaires du continent asiatique se sont établis en Afrique. Les uns étaient recrutés dans la monde indien ,voire chinois, comme main d'œuvre salariée sous contrat; les autres se sont installées de leur propre initiative. [...]
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