Ce document est une photographie prise depuis la rive gauche de Rouen. Elle se compose de trois plans distincts. Au premier plan, on observe une surface plane, qui correspond à une ?sorte d'îlot terrestre artificiel? dans la Seine. Le second plan n'est autre qu'un fleuve qui sépare les deux rives. Enfin, le troisième et dernier plan présente un fragment de la rive droite de Rouen.
Le relief semble relativement plat sur l'ensemble du paysage urbain que nous donne à voir cette image. Au niveau hydrographique, il y a là un cours d'eau qui, par sa largeur, correspond à un fleuve. Depuis cet angle de vue, il sépare Rouen de manière horizontale. Etant donné que c'est la ville de Rouen, on sait que ce fleuve est la Seine.
Malgré le fait qu'il s'agit d'une ville importante, on remarque immédiatement la forte présence d'éléments végétaux sur l'ensemble de la photographie. En effet, on peut noter qu'au premier plan il y a de la pelouse verte et entretenue, des buis taillés en forme de cône ainsi que des rosiers. Au dernier plan, des arbres sont plantés à intervalles réguliers sur deux niveaux : le long de quais et le long de rues situées un peu plus en hauteur. En outre, on peut distinguer la cime d'arbres plutôt hauts dépassant de toits à gauche de la photographie. Ce groupement laisse penser qu'il s'agit d'un parc de la ville. Ainsi, l'ensemble des éléments végétaux sur cette photographie révèle une certaine volonté de la part de ceux qui ont aménagés ces espaces d'associer l'univers végétal au monde urbain, et ce afin que les gens s'y sentent mieux. (...)
[...] Cela nous laisse alors supposer qu'il s'agit d'un parc surplombant Rouen. Au second plan, la ville prédomine et donc la végétation est beaucoup plus rare. Sur la rive gauche il y a plusieurs arbres plantés de façon irrégulière et de la pelouse verte et entretenue. Sur la rive droite, on voit des arbres qui sont plantés le long de grandes rues, à intervalles réguliers. On voit à leur couleur qu'ils sont regroupés selon leur espèce. En outre, il y a de la verdure sur un terre-plein central, ainsi que quelques arbres isolés un peu partout au sein de la ville. [...]
[...] Elle se compose de trois plans distincts. Au premier plan, on observe une surface plane, qui correspond à une “sorte d'îlot terrestre artificiel” dans la Seine. Le second plan n'est autre qu'un fleuve qui sépare les deux rives. Enfin, le troisième et dernier plan présente un fragment de la rive droite de Rouen. Le relief semble relativement plat sur l'ensemble du paysage urbain que nous donne à voir cette image. Au niveau hydrographique, il y a là un cours d'eau qui, par sa largeur, correspond à un fleuve. [...]
[...] C'est le cas à gauche des deux photographies, avec ce qui ressemble à des chambres d'hôtel. Cependant, la principale fonction de ces immeubles reste l'habitat. Ces habitations, des appartements en l'occurrence, se trouvent à tous les étages des différents immeubles. Le nombre des commerces est assez important, ce qui signifie qu'il s'agit d'une rue fréquentée qui doit se trouver dans le centre-ville de Rouen (ou assez proche). Ici, on a donc à faire à un quartier résidentiel et commercial. Il s'agit en outre d'un ensemble de bâtiments plutôt homogène qui date environ des années 1960. [...]
[...] La majorité se trouvent là où il y a des bâtiments (donc en ville car elles permettent une meilleure circulation. Néanmoins, au premier plan on remarque une route sinueuse qui semble en pente et qui traverse un bois. La deuxième et dernière voie de communication visible à l'œil est le chemin en terre. On les trouve au niveau des bois et forêts (au premier plan par exemple). [...]
[...] La hauteur des immeubles de cette rue doit varier entre à peu près 30 et 40 mètres. Excepté certaines devantures de commerces, les bâtiments n'ont pas changer entre la première et la seconde photographie. De ce fait, si les changements ont toucher ni la topographie, ni les bâtiments, alors il semble évident que ce sont les voies de communications qui ont été bouleversées ! Sur les deux photos, cette rue plutôt importante est coupée de manière perpendiculaire par des rues plus petites (sans doute à sens unique pour certaines d'entre elles). [...]
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