balance commerciale, contribution, arboriculture, défrichements médiévaux, reboisement
La France à une position européenne et mondiale en termes de production, et d'exportation agricole et alimentaire.
Graphiques p 55-56/ Le solde de la balance commerciale française pour les produits issue de l'agriculture : en milliard d'euro. A l'échelle européenne on a dans le commerce avec le reste de l'union européenne une balance excédentaire essentiellement ce qui concerne les boissons (vin et alcool) et céréales. La troisième catégorie c'est l'élevage qui associe les produits laitier et les animaux vivant. Avec le reste du monde deux postes reste fondamentaux : vin/ alcool et céréales, le troisième poste moindre est le lait et les produits laitiers (lié à l'élevage).
[...] Si on ajoute la production agroalimentaire on aboutit à du PIB. La part des chefs d'exploitations à extrêmement baisé mais si l'on associe à la production agricole les activités annexes on aboutit à près de 2 millions d'emplois associer à la production agricole française. Ceci alors que la superficie agricole utilisé à fortement baissée Les régions agricoles P 58 : La première carte mais l'accent sur l'une des principales productions céréalières françaises : le blé, situé principalement dans le nord-ouest de la France, on retrouve le bassin parisien, les marges de la Bretagne et le Nord du bassin Aquitain. [...]
[...] On trouve aussi des groupes forestiers, et d'investisseurs qui investissent dans la forêt. Le fait qu'on soit dans des forêts privés cela rend difficile une gestion générale, et ces exploitation sont souvent de petite voir de très petite taille millions de français sont propriétaire d'une forêt de moins 1 hectare et seulement français sont propriétaire de surface forestière supérieur à 20 hectares. Cette forêt privé est géré dans le cadre d'un groupement de propriétaire qui adhèrent au centre de propriété forestière (le plus souvent Centre Régional Propriété Forestière), qui aide à la gestion des forets privé, qui favorise le regroupement des propriétaires et qui met en place des plans de gestion pour les propriétaires adhérant. [...]
[...] Cela est dû à la déprise agricole du à l'exode rurale mais aussi à des volontés de l'état de valorisé certains terrains et en particulier au boisement des Landes à partir de 1859 sur d'ancien terrain sableux et marécageux d'une part ; par ailleurs les risques d'érosions on pousser l'état à intervenir : Restauration des Terrains de montagnes (Pyrénées A la fin du XXe siècle on atteint 14 millions d'hectares, dû à la grande phase de déprise agricole et de reboisement soit de particulier soit encourager par l'état. Un fond est créer en 1946 Fond Forestier National, le but étant de reboiser les espaces en déprise, cela se fait sous forme d'avantage fiscaux. C'est une seconde grande période de reboisement en résineux (épicéa, pin douglas ) Depuis la surface forestière continue à augmenter d'environ hectares par an. [...]
[...] Anciennes forêts royales qui ont bénéficié d'une gestion ancienne avec d'anciens édits royaux, les ancêtres de l'ONF, les eaux et forêts sont fondée en 1669 par Colbert, et les forêts françaises publiques sont gérées suivant un code forestier de 1827. Les forêts communales sont en grande partie d'anciennes parties communales et qui ont été reboisé au 19 e siècle. Ce sont aussi des forets de bordure des finages en zone d'Open Fields. Forêts communales comme nationales sont géré par l'ONF (Office National des Forêts), entreprise publique à caractère industriel et économique créée en 1965. C'est des ressource sous exploiter, environs moins de 65% de ce qui serait possible étant donné la pousse des arbres. [...]
[...] La part de la surface utilisé en bio aujourd'hui : du territoire nationale. Les régions qui ont les surfaces les plus intensives sont les régions du sud-est (Rhône Alpes, Corse, PACA des régions riches, des régions qui ont des agricultures spécialisé importante et qui ont une grande part de la SAU en élevage. La seconde zone d'agriculture bio c'est la France armoricaine et ses marges (pays de la Loire, Normandie des régions qui ont développé l'agriculture intensive, avec un rejet de ces excès, notamment de la pollution, c'est aussi une demande urbaine de Renne et de Nantes. [...]
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