Déprise rurale, espace, occupé, rural, agriculture, modernisation
Graphique p 7 à connaitre par cœur : poids démographique de la population dans les espaces ruraux ; Ce poids est la résultante d'évolutions techniques, d'attraction des villes. On voit naitre la nécessité d'appliquer les progrès technique agricole car il a fallu nourrir une population de plus en plus urbaine, donc non productive et avec un nombre d'agriculteur de plus en plus réduit.
[...] Autre exemple pour le lait on passe de 20 millions à 30 millions d'hectares exploités. L'exploitation des surfaces ne paraissent pas aussi importante que celle des rendements car les surfaces agricole baisse. L'ensemble de la SAU (surface agricole utile) baisse entre 1949-1975 on passe de hectares à Cette baisse de la surface agricole touche surtout les terres labourable on passe de 18 millions d'hectare à moins de 17 millions d'hectare. On peut rajouter à cela une augmentation de la productivité. [...]
[...] La corse connait une forte augmentation de la superficie en maquis associer a de gros problèmes d'incendies, avec une spécificité au niveau de l'immobilier, en effet à l'intérieur de la corse on a un patrimoine immobilier conservé, on reste dans des lignages familiaux. Ces espaces délaissés par l'agriculture, connaissent de surcroit de nouvelles formes d'implantations : vont ci concentrer les premiers parcs nationaux (parc des Cévennes, parc des Pyrénées, Parc des Ecrin, Parc du Mercantour) et importances des parcs naturelles régionaux, mis en place principalement dans les zones de montagnes (parc du Pilat). [...]
[...] Un ensemble de facteurs structurels et conjoncturels sont à l'origine du départ de population jeune vers les villes. D'autre part les conflits mondiaux déstructurent l'agriculture. Les phases de cette émigration rurale sont avancées par Philippe ARIES dans son Histoire de la population française : - 1850-1918 qu'il qualifie de phase d'émigration massive qui touche le nord-ouest du bassin parisien et les marge de la Bretagne, qui touche en grande partie la Loraine , qui touche aussi une partie du massif centrale et de l'Aquitaine. [...]
[...] La part de l'emploi agricole dans l'emploi totale, plus de 30% en 1955, et à peine plus de 10% en 1979. Modernisation des cultures qui s'accompagnent d'une restructuration, qui entraine une baisse des actifs agricole dans l'emploi totale Une déprise rurale inégalement répartie 3.1 Les grands contrastes spatiaux Grands contraste entre les régions qui on accompagner le processus d'intensification, de modernisation de l'agriculture. Celles-ci ce sont évidemment le bassin parisien qui a déjà très largement entamer le processus vers la mono culture céréalière intensive, avec des processus de remembrement, avec un parcellaire d'open Fields, qui avec le jeu des héritages était composer au début du XXe siècle de parcelle de petites tailles. [...]
[...] A ce vieillissement de la population s'ajoute le fait que culturellement on a un décalage croissant entre les populations rurales et les populations urbaines, les premières de plus en plus éloignés de la modernité (rapport à la famille, âge au mariage, revenu plus faible, habitats sous équipés Un bilan démographique négatif La population rurale : en 1846 on a dans les espaces ruraux français 27 millions d'habitants, en millions d'habitant, en millions d'habitants et en millions. On a une population rurale qui a diminué de la moitié en 130. Le rapport entre population urbaine et population rurale : Ces renversements démographiques s'accompagnent d'un changement de l'agriculture Modernisation de l'agriculture et concentration des exploitations Dans les années 1960, Henri MENDRAS publie, La fin des paysans, l'ouvrage décrit comment on a une perte de l'activité agricole dans les espaces ruraux qui s'accompagne de la valorisation d'une activité de plus en plus productiviste. [...]
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