cours parlant de la géographie et de l'oekumene, de la transition démographique ainsi que de différents discours sur le sujet.
[...] Dans un régime transitionnel on fait baisser la mortalité, par le biais de vaccination, médicaments . et on a donc une croissance, par la suite on a une chute de la natalité aussi, et on revient à une stabilité, c'est le régime post-transitionnel. La mortalité dépasse la natalité en cas de conflits/épidémies, et lorsqu'on est dans une phase de vieillissement de la population. P. Ehrlich donne une équation : I=PRT (Impact de l'homme sur la terre, dépend de la masse de population, des richesses produites, et aussi du développement des technologies). [...]
[...] On parle de la « bombe P » Populations), on met en garde les politiques sur le contrôle de leur naissance, de leurs croissance démographique, car cette croissance émerge la croissance de la pauvreté, ce qui fait gonfler les villes, et les bidonvilles dans les villes. Les prospectives de l'ONU ne sont pas surs que ça se passe comme prévu. Une peur de la vision que le monde va exploser d'hommes « néo-malthusianisme », est défendue par certains scientifiques. Ces prévisions démographiques ne sont pas toujours justes. On ne peut pas savoir l'avenir. On estime la croissance selon des paramètres, à partir de la fertilité qui a un impact sur la natalité. À partir de cela, on élabore des hypothèses, des probabilités. [...]
[...] Annuellement, il y a une croissance de donc de 82,5Millions d'habitants par an, donc 226 000/j ; 9416/heure ; 1567/min ; 2,5/s. A ce rythme, en 2080, on sera 15 milliards. Mais depuis 1960, le rythme diminue. Mais la répartition des hommes sur la planète est inégale, il y a des foyers de populations pleins, et des vides. Les plus forts taux de croissance annuelle sont en Asie et en Afrique La croissance la plus faible a l'Europe Certains pays de l'Europe ont une croissance négative, comme la Bulgarie, et la Roumanie. Il faut réfléchir aussi à des échelles temporelles. [...]
[...] Selon R. Brunet, c'est une des sciences des phénomènes de société qui a pour objet la connaissance de cette œuvre humaine qu'est la production et l'organisation de l'espace. Selon J. Léry, c'est la science qui a pour objet l'espace des sociétés, c'est la dimension spatiale du social. En général, on s'intéresse à la localisation des hommes (où sont les hommes et comment ils produisent et organisent la Terre). Géographie de la population et du peuplement : On s'intéresse au développement durable car la population augmente, alors que les ressources de la Terre ne sont pas infinies. [...]
[...] On regarde donc la morphologie de la ville. Au Sénégal, on parle de territoire urbain lorsqu'on a 10000 habitants ; au Mexique c'est 2500 d'habitants agglomérés ; Algérie et Comores 5000 habitants . On a une incertitude lorsqu'on mesure les dynamiques des populations. Ce sont des estimations, mais on a besoin de ces estimations pour des comparaisons à l'international sinon on n'a pas de progrès. L'Inde et la Chine sont des poids lourds dans la démographie du monde. Entre 1900 et 2012, la dynamique est très intense dans certaines régions du monde, comme en Asie, et en Afrique. [...]
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