Risques naturels, catastrophes naturelles, géographie, prévention, sociétés humaines
Les géographes s'interessent aux risques depuis les années 80, et aujourd'hui on s'intéresse surtout à la gestion de ces risques : elle est entrée dans les programmes de CAPES par exemple.
Les risques naturels pèsent sur les sociétés humaines.
Quel que soit le niveau de développement d'un pays, tous sont touchés et le coût des dommages est très élevé.
Aujourd'hui les risques sont de moins en moins "naturels" car liés à l'homme, d'ailleurs il n'y a risque qu'en présence de l'homme (car aléa = phénomène naturel).
Mise en place de prévention, conséquences sociaux-économiques (et aussi géocindynique = science du danger).
[...] Ils sont aussi révélateur des limites de la sciences, car on ne peut pas prévoir tout les éléments (seuil d'incertitude et de méconnaissance). Pour des aléas comparables les dégâts diffèrent selon la vulnérabilité. Il faut donc replacer les choses dans leur contexte : les villes du Sud concentrent tout les effets. Il faut aussi prendre en compte les effets dominos (en chaine) des catastrophes, jusqu'aux consommateurs . 5/6 Conclusion Les risques ne sont plus des risques localisés, ils dépassent leur zone d'aléas et induisent des conséquences à l'échelle de la planète. [...]
[...] Tout les enjeux sont dit vulnérables : représentation de la réalité qui est définit par plusieurs définitions (polysémique). Un phénomène naturel doit être prévisible pour être quantifié dans une politique de prévention. Courbe isorisque : Risques acceptables = crue de fréquence centennale par exemple (seuil d'acceptabilité) mais à aléa égale on ne va pas avoir la même vulnérabilité en fonction de l'acceptabilité. Le risque majeur : c'est un accident d'une gravité élevé et d'une probabilité d'occurrence très faible. Plusieurs type de risques majeur. [...]
[...] La taille de la surface affectée Plus la taille est importante plus la La durée de l'événement et sa périodicité On a des événements qui peuvent durée quelques minutes (séisme), et d'autres qui peuvent être très long (sécheresse) et d'autres périodiques (cyclones). L'origine de l'événement Elle peut être lié à la dynamique interne ou externe. (cf. Feuilles annexe). La possibilité de prévision de l'aléa Certaines peuvent l'être et d'autres non. 3/6 IV- Critères de différenciation des catastrophes Trois indicateurs de l'impact des cat nat : l'échelle de mesure des cat selon Dauphiné Les pays on leur propre système de mesure, mais il existe un système international. [...]
[...] Quel que soit le niveau de développement d'un pays, tout les pays sont touchés et le cout des dommages est très élevé. Aujourd'hui les risques sont de moins en moins «naturels» car liés à l'homme, d'ailleurs il y a risque qu'en présence de l'homme (car aléa = phénomène naturel). La géographie des risques est une géographie appliqué : efficacité des mesures misent en place et de la prévention, conséquences sociaux-économiques (et aussi géocindynique = science du danger). La catastrophe naturelle la plus présente sont les inondations : en terme de dégât et d'occurrence. [...]
[...] Des aléas plus fréquents et plus dangereux, donc plus menaçant qu'en zone tempérée. Les systèmes d'érosion sont très actifs (formation de débris et instabilité des versants) 2/3 de l'humanité dans cette zone intertropical, expansion démographique mal contrôlé ! Croissance anarchique de l'urbanisation (grande pauvreté) et corruption. Conclusion : des perspectives d'avenir préoccupantes La croissance des cata naturelles ne doit pas être exagéré (c'est surtout la croissance démo). Les risques dépendent de facteurs géophysiques et climatiques, mais aussi géopolitique et socioéconomiques. [...]
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