Localisations, espaces urbains, configuration, enjeux, modèles, théorie, Loi de Reilly, Loi Rang Taille, modèle de Burgess, politiques d'aménagements
Il s'agit de trouver des éléments qui expliquent de façon fiable des caractéristiques liées à une situation donnée. La réflexion théorique est beaucoup plus ancienne, car cela renvoie à l'approche du 19? siècle sur l'organisation de l'espace de la ville et son environnement spatial. C'est une logique purement économique. La ville par sa centralité a une valeur plus forte que les espaces périphériques. Plus on s'éloigne d'un centre, plus on va avoir des activités avec une valeur du terrain déclinant. Selon le modèle, une partie de l'organisation de l'espace rurale se fait en fonction de la ville.
[...] Comprendre les localisations Quels types de localisations ? Les localisations des activités urbaines par rapport aux activités rurales. Les localisations des villes les unes par rapport aux autres. Les localisations des différents éléments dans la ville. Le modèle comme moyen de compréhension Il s'agit de trouver des éléments qui explique de façon fiable des caractéristiques liées à une situation donnée. La réflexion théorique est beaucoup plus ancienne, car cela renvoie à l'approche du 19[e] siècle sur l'organisation de l'espace de la ville et son environnement spatiale. [...]
[...] La localisation peut expliquer les aires d'influences des villes par rapport aux autres. Cela remet en cause les perspectives de développement des villes par rapport aux autres. On est sur une question de dosage des différents centres. Cette cohérence s'appuie sur des aires très forte. Que ce soit à l'échelle fine ou grande, on a les mêmes formations. Loi Rang Taille (courbe de ZIPF) 1949 : elle explique principalement la hiérarchisation des pôles urbains en fonction du rang de la hiérarchie. [...]
[...] On veut un fonctionnement harmonieux de l'espace urbain. Par un dosage et une mixité, c'est le coût du foncier. On a des réflexions qui se mettent place, avec un modèle urbain qui permet de comprendre une ville, selon la situation soit on décrit soit on aménage. Les modèles gravitaires Un des 1[ers] modèles c'est le modèle de Burgess (1925) : exemple typique de la ville américaine. On a une configuration où la répartition des différentes activités et le fait que le résidentiel est rejeté vers l'extérieur. [...]
[...] C'est le cas du rôle des villes centres : différentes polarités qui vont être marqué par la possibilité d'utiliser les métriques automobiles* : motorisé, et pédestre* : transport en communs et mode doux. Les caractéristiques sont bien mieux remplies. On voit aussi qu'il y a des relations entretenues avec des espaces urbanisées situés loin. On a un effet structurant. Il s'agit d'un phénomène de mitage. On se retrouve avec des marges du bassin minier. On se retrouve dans des politiques d'aménagements qui luttent contre les déséquilibres. [...]
[...] Il y a des espaces urbains complexes : le système polynucléaire lorrain. D'une façon générale, on limite le poids de Metz et Nancy pour maintenir le système* : interaction qui peut remettre en cause tout le système. Lorsque l'état décide de déterminer un équilibre, le but était de lutter contre le déséquilibre par les provinces. On cherche à développer. On se retrouve dans une configuration où il y a une complémentarité entre les deux villes. Ce système est un relatif échec, car l'existence du semi urbain est difficile à remettre en cause. [...]
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