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Il faut s'intéresser à ce qui forme le réseau urbain : la fonction résidentielle, le logement et l'habitat. En France, on parle souvent de crise du logement. En 2000, il y a 30 millions soit 2 habitants par logement. Il y a cependant des progrès, car en 2000, on compte 6 % de logements indignes.
Le logement : est un bien d'usage et de consommation, il peut produire un rendement si on est propriétaire, c'est aussi un bien marchand qui s'échange et qui a de la valeur. Le logement peut aussi être un bien familial donc un bien qui se transmet. C'est donc une ressource. Il peut aussi être considéré comme un bien affectif et renvoi à l'idée d'appropriation.
L'habitat : s'associe au logement, mais met aussi en évidence le côté affectif et l'appropriation d'un bien.
[...] Le modèle sociale proviendrait de la perte de la terre et du déracinement: on veut donc installer de la verdure. Il y a une ventilation rationnelle de la chambre à coucher (fenêtre vont jusqu'au plafond), l'eau doit être disponible en abondance. On note aussi la présence de toilette dans chaque logements et de vides ordures. Au dernier étage on installe une buanderie collective ou le linge est désinfecté. Le chauffage est important on remplace les fourneaux par un chauffage collectif qui limite l'utilisation du charbon dans les appartement. Enfin, l'électricité remplace les lampes à gaz. [...]
[...] Cependant, depuis 90 la périurbanisation ralentit au profit d'un retour à la ville avec a réhabilitation des grands projets. On a cette idée de la ville qui régénère de l'intérieur avec les éco-quartiers. Les années 1930/40 et le fonctionnalisme : les nouvelles théories du logement social. Pour les Fonctionnalisme la forme du bâti doit être liée à la fonction du bâti. La beauté de l'œuvre dépend de son adaptation à sa fonction : une forme esthétique du bâti qui n'a pas de fonction propre est considérée comme inutile sauf si on place un émetteur à son sommet. [...]
[...] Les permis de construire sont obligatoires mais pas encore de sanctions si on note son absence. La loi de juillet 1924 qui condamne les spéculations foncières donc elle propose un contrôle des spéculateurs lotisseurs, la protection des lotissements reconnus par la loi et sanctionne ceux qui n'ont pas de permis de construire. Cependant, des stratégies de contournement qui se mettent en place. Cette loi provoque à une hausse du prix du terrain car celui-ci est reconnu et viabilisé et un ralentissement de la croissance de la banlieue. [...]
[...] Cette loi permet l'engagement de l'état dans la remise aux normes à 75% des logements insalubres. C'est aussi le programme de construction de logements. Ce soutien est un encouragement à l'accession à la propriété donc c'est un processus de régularisation. Cette loi permet d'avoir une aide à la construction car les constructeurs sont des gens modestes ayant recours avant à des sociétés d'épargne. Peu de gens bénéficient de ces avantages. Des spéculateurs fonciers débitent les champs et les forets puis qui les vendent à des modestes qui achètent un terrain nu à crédit. [...]
[...] Rénovation: opération plus lourde car on remet à neuf. On n'hésite pas à détruire. On retrouve surtout des logements avec une double orientation et plutôt confortable. Ces HBM sont à proximité des grands réseaux de communication: ce sont des bâtiments qui vieillissent bien et qui sont plus robuste que les HLM des années 1950 car on utilise la brique. Il y a donc une qualité de construction et deviennent des logements moins populaire et font parti du patrimoine de la ville de Paris. [...]
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