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Le solde migratoire est calculé en soustrayant le nombre de sorties de migrants aux nombre d'entrées. Si ce résultat est positif, la région est attractive ; s'il est négatif, elle est répulsive.
Il y a une coupure nette entre le Nord (Île-de-France), qui est répulsif et le Sud (PACA, Languedoc-Roussillon), qui est attractif.
Le solde naturel (naissances moins décès) joue un rôle pour la population de chaque région.
Un solde migratoire ne veut pas dire que la région gagne des habitants, et inversement.
Les principaux flux partants de l'Île-de-France vont vers le Sud-Est, le Sud-Ouest et le Grand Ouest.
Les autres flux significatifs
. vont du Nord-Est vers le Sud-Est et le Sud-Ouest.
. vont du Nord-Pas-de-Calais vers le Sud.
TOUTES les régions sont concernées par les flux. Il y a certains flux à contre-sens : du Sud vers l'Île-de-France (notamment pour le travail et les études).
Dans les années 1990, 42% des migrants ont quitté ou sont venus en Île-de-France. Actuellement, on quitte l'Île-de-France sauf entre 20 et 30 ans.
Depuis les années 1940, les flux migratoires étaient des campagnes vers les villes. Ils n'étaient pas beaucoup interrégionaux. Une seule région était attractive : l'Île-de-France.
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La mobilité renforce l'opposition entre les régions urbaines et les régions rurales. Ces migrations profitent plus aux grandes agglomérations françaises (sauf Paris). Cela traduit un glissement de la population française vers le Sud-Est dans les années 1980-1990 et, maintenant, vers le Sud-Est, le Sud-Ouest et l'Ouest. Au final, les régions rurales sont peu touchées par ces migrations (comme le Massif central et son pourtour) (...)
[...] Elle fait partie des trois pays qui attire. En France, les migrants sont, à un peu plus de extérieurs à l'Union Européenne (Afrique de l'Ouest : Sénégal, Côte d'Ivoire et les pays du Maghreb) et, à un peu moins de de l'Union Européenne viennent du Portugal ; 13,8% d'Italie). La principale motivation est économique ou sociale. Pour une minorité, elle est politique ; ce sont alors des demandeurs d'asile (la France est considérée comme une terre d'asile). En 2001, ces demandeurs étaient 350.000 en UE ; en France, ils étaient Aujourd'hui, l'UE, et particulièrement la France, est une terre d'accueil. [...]
[...] Les autres flux significatifs . vont du Nord-Est vers le Sud-Est et le Sud-Ouest . vont du Nord-Pas-de-Calais vers le Sud. TOUTES les régions sont concernées par les flux. Il y a certains flux à contre-sens : du Sud vers l'Île-de-France (notamment pour le travail et les études). Dans les années des migrants ont quitté ou sont venus en Île-de- France. Actuellement, on quitte l'Île-de-France sauf entre 20 et 30 ans. Depuis les années 1940, les flux migratoires étaient des campagnes vers les villes. [...]
[...] - soit l'intégration est synonyme d'assimilation. Dans ce cas, la personne devra adopter les habitudes du pays accueillant. La mobilité des Français illustre l'évolution démographique et l'évolution des modes de vie. Le fait que les trois quarts des Français soit des urbains est un facteur d'augmentation de la mobilité. En effet, la mobilité est liée prioritairement à une motivation économique que ce soit une mobilité interne ou externe. En France, elle souligne le lien d'attractivité existant entre les métropoles et les principales régions urbaines. [...]
[...] A partir des années 1950, une nouvelle immigration se met en place. Ce sont des non- européens qui arrivent, notamment des pays du Maghreb, mais aussi de pays d'Afrique Noire et asiatiques. Aujourd'hui, les Européens représentent 42% des migrants installés en France (contre 95% en 1900). Cela est dû à l'arrêt des flux et à une grande partie de ces communautés qui a été naturalisée (notamment les enfants). Plusieurs chiffres : 2001 : d'étrangers en France, environ 3,26 millions de personnes : d'étrangers en France, environ 1,05 millions de personnes : d'étrangers en France, environ 1,55 millions de personnes : d'étrangers en France, environ 2,7 millions de personnes : 6,55% d'étrangers en France, environ 3,4 millions de personnes. [...]
[...] La mobilité définitive a plutôt baissé depuis 1975. Cela est lié au développement des moyens de transport. La majorité des migrants définitifs restent dans la même région. Les migrations interrégionales. (Le texte qui suit est à mettre en relation avec la carte ci-dessus.) - Carte à agrandir pour la légende et une meilleure lisibilité. - Le solde migratoire est calculé en soustrayant le nombre de sorties de migrants aux nombre d'entrées. Si ce résultat est positif, la région est attractive ; s'il est négatif, elle est répulsive. [...]
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