On va voir l'évolution de la démographie en France et où se répartie cette population. Puis de la centralité parisienne (et le rôle de l'immigration dans cet espace) qui organise la totalité du territoire français.
[...] Les villes comme Créteil, Soisson, Thierry participent à ce mouvement elles sont reliées en couronne autour de l'Ile de France. Il y a 71 pôles de décentralisation car depuis les années 20 il y a eu un phénomène de décentralisation, qui vient renforcer un mouvement naturel. C'est un choix politique de limiter la centralisation sur Paris. Redistribution de la population dans l'espace parisien L'agglomération fait 3700 habitants/km² mais on peut passer de hab./km² en plein centre ville à 3000 hab./km² dans les quartiers bourgeois. [...]
[...] Les espaces pavillonnaires ont une densité de hab./km² en moyenne. Les banlieues ou espaces périphériques A l'échelle de l'Ile de France l'idée d'espace périphérique est très remarquable. Ce sont des petits espaces très peuplés et urbanisé. Il rentre dans l'organisation globale de la ville. Ils ont un statut d'exception grâce à ces critères. Mais ils sont aussi très dépendants au pôle auquel il appartient. Il y a donc écrasement de la hiérarchie et les conséquences sont proportionnelles au poids du pôle. [...]
[...] C'est beaucoup moins vrai que de nos jours. L'espace parisien : les classes d'âge Au début, dans l'histoire de l'espace parisien il y avait un déficit de jeune et de personnes âgées, excédent d'adultes. L'espace parisien est avant tout un lieu de travail. La population féminine est beaucoup plus accrut depuis une cinquantaine d'année, tertiarisation du travail. L'espace parisien a traditionnellement un faible taux de natalité à cause du fait que c'est un espace de travail et que les logements sont chers et difficile à trouver. [...]
[...] L'espace français la centralité de l'espace français I L'espace parisien : histoire de l'immigration démographie L'immigration est un phénomène ancien et continu. En 1880-1920 : très forte croissance de l'agglomération, ça a eu une conséquence directe sur les autres villes. -au XVIII° s. : la différence entre Paris et les autres grandes villes étaient de la moitié, on passe à 1/10. -1920 1930 : la population de Paris à tendance a diminuer alors que l'agglomération augmente, elle gagne 1 million d'habitant (environ étrangers). [...]
[...] Dans la 3ème couronne, influence du pôle urbain qui a absorbé des villes qui sont suffisamment grandes pour exister mais beaucoup sous l'influence du pôle. Elles sont structurées autour des grands axes donc moins forme auréolaire, il y a émergence de grande communauté, de grand ensemble très peu reliés les uns aux autres. Dans la 4ème couronne, création de nouveaux pôles, de ville dortoir pour délester cette dépendance à Paris. Des villes nouvelles créent de toutes pièces par une décision de l'Etat. LE PROBLEME C'EST TOUJOURS SUR L'ORGANISATION DE L'ESPACE. [...]
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