Il a fait une enquête qui aborde le récit de vie sur un thème qui est le rapport à la ville. Il met le parcours résidentiel comme un questionnement central. Sa question de départ est simple : est-ce que vous aimez la ville ? Il défend l'idée que la question des sentiments est peu traitée en sciences sociales. Est-ce que vous aimez la vie urbaine ou pas ? Sachant que la vie urbaine est un style de vie. C'est l'exploration de quelque chose qui est socialement déterminé. Le mode de vie urbain est le mode de vie majoritaire. C'est une question aussi politique dans la mesure ou les politiques ont besoin d'une population qui aime la ville pour s'y investir. La question de l'attachement à un objet est vraiment une question sociologique. L'enquête part de l'idée que de vivre en ville c'est une imbrication d'histoires personnelles, familiales et économiques.
[...] Il va s'interroger sur leur première impression de la ville quand ils étaient enfants. Il va voir se dégager des moments urbains : première sortie au cinéma, premier retour d'école seul. Tout est lié à l'éloignement de l'autorité. Il a aussi la ville comme associée à des moments marquants de la vie. - il fait une conclusion avec les limites de son enquête. Il se dit qu'il aurait été opportun de faire remonter le récit de vie aux parents et aux grands-parents. Il se demande s'il n'y a pas une transmission. [...]
[...] Est-ce que vous aimez la vie urbaine ou pas ? Sachant que la vie urbaine est un style de vie. C'est l'exploration de quelque chose qui est socialement déterminé. Le mode de vie urbain est le mode de vie majoritaire. C'est une question aussi politique dans la mesure ou les politiques ont besoin d'une population qui aime la ville pour s'y investir. La question de l'attachement à un objet est vraiment une question sociologique. L'enquête part de l'idée que de vivre en ville c'est une imbrication d'histoires personnelles, familiales et économiques. [...]
[...] On a un rapport au bien-être lié au confort. - des gens qui ont un rapport opportuniste à la ville. Si cette ville leur donne des avantages, ils vont l'apprécier. C'est un rapport utilitariste, mais très conjoncturel. - Les nostalgiques : ce sont des gens qui idéalisent la ville sans jamais avoir trouvé une ville correspondant à cet idéal. Cette ville c'est souvent des gens qui font référence à la ville de leurs parents ou de leur enfance. Ils font allusion à une ville perdue. [...]
[...] - la ville et le futur : Pour certains la ville c'est le lieu ou tout est possible. Paris apparaît comme la ville par excellence dans ces entretiens. - L'idéal de la ville : Une ville occidentale, pas très grande, avec des petites places, des ruelles tortueuses. La ville idéale c'est le centre- ville d'une ville ancienne. Cela correspond à l'hyper centre historique. C'est un petit centre historique qui devient la ville. - il va faire une typologie des rapports à la ville. Il va classer les gens dans une échelle graduée. [...]
[...] Pour certains on ne parle pas de ville, mais ils veulent habiter près de la montagne ou de la mer ou près de leur mère. Pour certains le rapport affectif à l'espace n'est pas structuré à la ville. - les conceptions de la ville : - Des personnes qui vont concevoir la ville comme un capital matériel. Il fait une typologie en fonction de ce que les gens imaginent de la ville. Une ville c'est des potentialités d'équipement, de service qu'ils soient utilisés ou pas. [...]
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