Libertés publiques, action collective, espace publique, libéralisme, socialisme démocratique
Ces deux grands courants ont eu soit comme finalité ou fondement l'affirmation des libertés publiques. Ils ont placé l'individu au cœur de leurs réflexions. Les libertés publiques résultent d'une confrontation entre l'homme et l'Etat au sens de l'espace publique ou l'homme évolue. Les libertés publiques résultent de cette confrontation. L'Etat intervient pour définir les modalités d'intervention de ces libertés. Selon l'étendu de cette intervention, on a la frontière entre les libéraux et les socialistes.
[...] Nos sociétés libérales, sont des sociétés ou l'arbitrage est permanent, pour savoir ou placer la frontière entre intervention de l'Etat et pleine expression de la liberté. On a sans cesse des débats pour savoir ou placer la frontière. Les libéraux eux-mêmes sont partagés. Le socialisme démocratique Le socialisme démocratique est lui aussi marqué par ce débat. La question a été un élément de débat au sein du mouvement socialiste. Le socialiste est né de la question démocratique. Le socialiste démocratique est né sur la question économique ou sociale. D'abord la question des libertés individuelles ne se posait pas. [...]
[...] Ils aspiraient à ce que l'homme puisse sans le vecteur du collectif puisse se définir librement. C'est le rejet de ces structures collectives qui permet d'intermédiation. La France était divisée en trois ordres sociaux : la province, la ville et les corporations. Ce courant avait une méfiance à l'égard de l'Etat. La méfiance s'est montrée dans la théorisation de la séparation des pouvoirs. C'est Montesquieu qui prône la séparation des pouvoirs. Benjamin Constant était favorable à la plus grande expression de l'individualisme. [...]
[...] La SFIO s'inscrivait dans les combats républicains de la gauche traditionnel. Le parti communiste donnait le primat à l'action révolutionnaire et la question de la liberté publique, une question bourgeoise ne l'intéressait pas. Après cette scission, le courant socialiste démocratique n'a jamais abandonné la question de la liberté publique. Ce courant a toujours associé le combat au respect intégral des libertés publiques. On a donc deux grandes idéologies : libéralisme et socialisme démocratique qui ont au cœur de leur réflexion les libertés publiques. [...]
[...] On a les blanquistes qui sont partisans d'une action révolutionnaire immédiate. Ils ont constitué un comité central révolutionnaire. On a donc 4 courants auxquels s'associent des personnages indépendants comme Jaurès, Millerand. L'unité se fit progressivement mais difficilement. On a le regroupement de deux partis socialiste, le parti social français qui regroupe les broussistes et les allemanistes et de l'autre coté on a le parti social de France qui regroupe les marxistes et les blanquistes. Le premier courant est plus réformistes, l'autre plus révolutionnaire. [...]
[...] Les libéraux professaient la limitation de l'Etat. C'est l'autolimitation pour protéger les libertés individuelles. Dans la sphère économique on a le laisser faire. C'est la main invisible du marché qui régule automatiquement le marché. C'est la théorie du libéralisme économique. L'Etat en intervenant perturbe l'équilibre du marché. On a Friedman et Hayek par exemple. Au sein même du courant libéral on a une division entre ceux qui acceptent l'intervention de l'Etat pour réguler le jeu libre des lois du marché et ceux qui sont le plus possible contre l'intervention de l'Etat. [...]
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