Business, luttes syndicales, pensée positiviste, privatisation, intégrisme
Ce qui prime au XXème siècle c'est le business, on va donc mettre de l'ordre dans le droit économique et social. Le courant de pensée positiviste va influencer nos grandes lois républicaines : 1901 :Loi des associations, 1905 :Séparation de l'église et de l'État.
La Révolution Industrielle secoue les lois canons. Toutes les luttes syndicales qui vont naître dans nos régions, vont très fortement marquer notre justice, notre droit. Les grandes lois républicaines du XX ème siècle et avec la laïcité vont mettre fin définitivement à ces lois. La vie économique n'est pas une activité philanthrope, certains vont commencer à dire que la crise profite à certain.
[...] Les grandes lois républicaines du XX ème siècle et avec la laïcité vont mettre fin définitivement à ces lois. La vie économique n'est pas une activité philanthrope, certains vont commencer à dire que la crise profite à certain. L'école de pensée positiviste va influencer notre règle juridique. C'est ainsi que le code Napoléonien datant de 1807 est totalement remanié. On a eu la première et la seconde Guerre Mondiale, la Guerre Froide. Elles vont renforcer le fait que le droit économique permet l'intervention de l'État (nationalisation massive après 1945). [...]
[...] On a besoin d'un droit d'ordre public. La Vème République n'échappera pas à cet emballement, et en 1968 l'État était aux mains de Général de Gaulle, il va renforcer cette loi qui est au service de l'État et sanctionner les comportements qui vont à l'encontre de la société, mais pas les comportements d'enrichissements. Certes, de 1974 jusqu'aux années 80, les gouvernements successifs privilégient les privatisations. Le droit va devenir un droit pour faciliter les vagues de privatisations, à la vente des entreprises nationale, parce que l'État a besoin d'argent. [...]
[...] Il y a des choses qui bougent (les pensées très controversée du pape Benoît XVI). On dit stop à l'injustice, à l'inéquité, à l'amoralité, et on a une montée de l'intégrisme. On est dans une situation qui fait pensée à un retour pour certains à des idéaux, et pour d'autres revenir à d'autres valeurs que la croissance économique. On voit que l'action syndicale a changé, nous avons les prémices d'un retour à des pensées de vraies valeurs. Est-ce que la chute du capitalisme va déclencher par rapport à notre droit qui devient peu recommandable sa chute ? [...]
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