Le mariage n'est d'abord pas conçu comme une institution de fait. Le mariage n'est pas réglé par le droit, mais par les mœurs. Le mariage ce sont des rites dont on gare l'idée. Pour se marier il ne faut qu'il y ait d'empêchement au mariage, tout le monde ne peut pas se marier. On ne peut se marier que si l'on est citoyen romain. C'est par le mariage qu'un enfant né de ce mariage va pouvoir accéder à la citoyenneté. Le mariage est la base de l'état, contrôler le mariage c'est contrôler l'accès à la citoyenneté. Le but de l'état est la conservation de la cité. Les enfants sont la condition de la survie de la cité. Toutes les discriminations dans le mariage ont pour but de protéger l'ordre politique. Il y a des empêchements d'ordre social. Il faut le conutium, c'est-à-dire la capacité de conclure un mariage, le statut personnel. Ne pourront pas se marier entres eux : les esclaves, un romain et un non romain.
[...] La femme adultères ne peut se remarier avec son complice. Si on est esclave, on est en situation de concubinage et les enfants n'auront pas le même statut que des enfants légitimes. Le soucis d'avoir des enfants est si obsessionnel qu'on va obliger les célibataires a avoir des enfants. L'idée est que l'on voulait les gens a avoir le goût de la famille et donc de l'état. La mariage est monogamique fondé sur l consentement : normalement la forme de l'acte n'est pas déterminante. [...]
[...] Le christianisme va en quelque sorte resserrer la vice. Les premiers effets de l'irruption du christianisme sur le mariage romain On va restreindre le divorce et la pratique de l'adultère. A ) la vision chrétienne du mariage L'édit de Milan proclame la liberté de religion et l'édit de thessalonique en 380 fait de la religion chrétienne la religion officielle. Le christianisme s'immisce dans les mœurs des convertis. Les sources du mariage chrétien est dans les textes saint et dans les textes des pères de l'église. [...]
[...] Le concubinage est subis. Dans un mariage on a fréquemment une dote et put matérialiser le lien social. Section II . L'évolution du mariage ) du mariage du cum manu au mariage sine manu Le mariage cum manu va durée de -753 jusqu'au 1er siècle avant J-C. Il se déroule en trois étapes : il faut l'usus : c'est à dire une situation de fait prolongé pendant 1 an, cet usus permet d'acquérir l'autre par le procédé de l'usucapion ( prise par l'usage l'Usurpation est interrompu par l'usurpatio tri nocti ( l femme quitte le domicile trois nuits de suite ) La confarreatio où 9 témoins prononcent des paroles solennelles., il y a alors quelque chose d'ordre religieux pendant l'union entre deux gentes. [...]
[...] Le mariage va devenir plus fluide et va reposé sur le consentement. On va examiné les vices du consentement. On observe si il y a eu folie ou violence ou dole, ce qui n'est pas pris en compte c'est le dolus bonnus. Il y a des cérémonies religieuses, des festivités avec deux éléments d'importances : la destrarum juncio, les époux se prennent la main droite. Il y a aussi la deductio ucsuris in domum mariti, le mari va prendre sa femme dans ses bras et il franchi avec elle le seuil de la maison. [...]
[...] Le divorce par consentement mutuel. Le repudium existe toujours mais il est très sévèrement encadré et si le mari répudie sa femme, il va devoir reverser la dote et également reverser ma donation supplémentaire que la femme avait pu lui faire à l'occasion du mariage. On peut interdire à l'homme de se remarier. En cas d'adultère, ce n'est plus la peine de mort qui joue, la femme peut enfermée dans un monastère. Les pratiques se modifie par petite touche. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture