La crise de l'Ancien Régime, fiche d'histoire des institutions politiques de 3 pages
La société française a peu évoluée. C'était un monde équilibré : hiérarchisé selon les contemporains. Chacun avait la place qui lui était attribuée par Dieu. Surtout l'économie agricole, les structures sociales (conforment à l'idéologie dominante : chrétienne, très ancrée dans la tradition).
I. La société française d'Ancien régime: une société en crise
II. La contestation idéologique de l'Ancien Régime
[...] Il est irresponsable devant les hommes. Les institutions L'absolutisme : la souveraineté appartient exclusivement au roi, elle est indivisible. Jean BODIN a théorisé la notion de souveraineté royale. Mais il y a tout de même des limites à cet absolutisme : - le roi est soumis aux lois fondamentales (règles non écrites formées tout au long des siècles). - Le roi doit prendre conseil auprès des assemblées : Les Etats généraux n'ont qu'un avis consultatif. Le vote se fait par ordre et non par tête. [...]
[...] La crise de l'Ancien Régime I. La société française d'Ancien régime: une société en crise Malgré une progression positive de l'économie, crise de la société. Structures juridiques trad de l'AR n'ont pas su s'adapter à l'évolution d'une société en mutation. A. Les structures sociales en mutation La société française a peu évoluée. C'était un monde équilibré : hiérarchisé selon les contemporains. Chacun avait la place qui lui était attribuée par Dieu. Surtout l'économie agricole, les structures sociales (conforment à l'idéologie dominante : chrétienne, très ancrée dans la tradition). [...]
[...] En effet ils s'opposent de plus en plus. Ils veulent participer au pouvoir. Ils vont donc profiter de leur droit de remontrance et refusent d'enregistrer les actes royaux qui leur déplaisent. Un problème financier se pose à la fin du XVIII, il y a un déficit énorme. Quand Louis XVI le constate, il se rend compte qu'il est urgent de réformer le système fiscal. Mais les parlements vont bloquer toutes les réformes fiscales et économiques du roi. Car les membres des parlements sont nobles et les réformes fiscales portaient atteinte à leurs privilèges. [...]
[...] En résumé, il y a une contradiction entre une société en mouvement et les principes juridiques rigides qui la régissent. I. La contestation idéologique de l'Ancien Régime A. La tradition monarchique Le principe Le roi tient son pouvoir directement et exclusivement de Dieu. BOSSUET a théorisé le droit divin. Dans son ouvrage, politique tirée des propres paroles de l'écriture sainte il affirme que pour mettre en œuvre le pouvoir politique, il faut se référer aux préceptes qui ont été révélé par Dieu aux hommes. Le roi n'a de comptes à rendre qu'à Dieu. [...]
[...] Dans ce dernier cas, le texte revient au Roi. Celui ci se déplace au parlement et enregistre lui même l'acte. B. Le rejet de la tradition et les idées nouvelles La philosophie des lumières se caractérise par la diversité des courants. Elle va revendiquer la liberté politique, une monarchie tempérée, une liberté religieuse, le libre échange, l'égalité civile. VOLTAIRE se bat contre l'arbitraire de l'Ancien Régime (affaire Jean CALAS : un négociant protestant de Toulouse, avait, pour préserver sa réputation, maladroitement tenté de dissimuler le suicide de son fils. [...]
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