Droit romain public, Michael Rainer, Montesquieu, discours de Macchiavelli, comices centuriales, constitution américaine
Il considère le droit romain comme une base indispensable pour le droit moderne.
Surtout, au 18ème siècle, il y avait de grands savants qui se sont occupés du droit public romain de l'état. Rousseau, dans son contrat social avait écrit beaucoup.
Un collège plus ancien de Rousseau, Montesquieu, dans le chapitre 4 du 11ème livre de son ouvrage majeur de l'esprit des lois à écrit « Pour qu'on ne puisse abuser du pouvoir, il faut que par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir » une idée très particulière sur laquelle se base toujours nos systèmes politiques de tradition européenne, de même que le système de la république américaine. Ne faisant l'éloge de la république romaine, Montesquieu dit que tout abus du pouvoir peut toujours être corrigé.
[...] Le vote, à partir de l'année 137, c'est une lex papinia, les votations étaient secrètes et écrites. On votait centurie après centurie. On se trouve tout de suite au niveau des attributions : La législation. Cette assemblée votait les lois, et seulement cette assemblée pouvait le faire. La loi, une terminologie qui fut inventée par Montesquieu, car seulement l'assemblée populaire pouvait approuver une loi. Même aujourd'hui ce sont les représentants du peuple à approuver une loi, pas le gouvernement. La loi. [...]
[...] En écrivant l'esprit il avait toujours présent sur son bureau les livres romains. Les romains étaient très présents. Avant de passer à la république romaine, une autre citation : Lord Bolingbroke : a Constitution like ours, the Safety of the Whole depends on the Ballance of the Parts. Let us see whether it be true that the Ballance of the Parts consists in their mutual Independency. d'un coté l'indépendance des institutions politiques de l'autre le mots balance. Cette année, Montesquieu se trouva à Londres (1729 à 1731). [...]
[...] Après on assiste à la création de nouveaux états, l'état de l'empire. Pas une constitution mais une loi impériale. L'origine de notre terminologie dans le sens d'aménagement politique, la constitution. On le trouve dans les fameux discours de Macchiavelli. Tilelive c'est un des auteurs romains du premier siècle après JC, l'un des historiens qui nous informe toujours sur le développement du droit romain. Il prend les discours de Macchiavelli. C'est probablement le premier livre moderne de Machiavelli. Les anciens, ont-ils eu la certitude d'avoir, de vivre un système politique. [...]
[...] Mais pendant la république romaine à commencé à exister en 367/366, et a continué pendant 350 ans jusqu'à la naissance de la principauté de l'empire. Les comices à l'époque étaient des comices civiles et non pas des comices militaires. Mais le poids du vote était différencié. Cette assemblée était divisée entre 193 centuries étaient les chevaliers étaient la première classe, la classe des rives de l'organisation politique des romains. Finalement on avait encore 2 centuries de techniciens, de musiciens, et la dernière centurie était la centurie des prolétaires. Le prolétariat était dans la dernière. L'inscription dans les classes et les centuries dépendait des richesses. [...]
[...] Ils étaient dotés de l'extrême pouvoir, ils avaient le droit de conduire l'armée et de décider de toutes les mesures politiques. Le sénat, encore une assemblée, c'est l'assemblée de ceux qui avaient été des magistrats. Ceux-ci siégeaient dans le sénat pendant le reste de leur vie. Magistrat, élément monarchique, personne ne pouvait les arrêter, seulement le collègue pouvait casser la décision d'un autre consul, c'était de la monarchie. Le sénat, élément aristocratique, qui dirigeait la politique et concédait les moyens financiers. [...]
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