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La Terreur est une phase de la Révolution française qui s'ouvre à partir de 1793. A partir de là, la révolution se radicalise, on fait la chasse aux ennemis du peuple.
Pendant cette période Robespierre et la convention nationale, après la mort de Louis XVI, en janvier 1793, l'assemblée s'appelle la convention nationale. Cette assemblée se réunit et décide de mettre la Terreur à l'ordre du jour.
La Terreur est une politique visant à faire peur aux ennemis de la république.
Sur la plan de la justice on prend à contre-pied les règles procédurales susmentionnées. On met en place une justice d'exception.
[...] Devant les juridictions d'exception, la procédure est expéditive. Quand on arrête un accusé contre-révolutionnaire, on le fait juger par le tribunal criminel de droit commun en appliquant une procédure d'exception. À partir de 1793, les accusés sont envoyés au tribunal révolutionnaire de Paris. Les règles de l'audience sont sommaires, et vont se corser avec le texte le plus terrible de cette période : loi du 22 prérial an 2 (10 juin 1794), qui inaugure la grande terreur. Cette loi a été organisée pour pouvoir faire. [...]
[...] Les militaires sont redoutables car plus sévères dans l'application de la Terreur. La seule peine qu'elles peuvent prononcer est la mort. Il y a en tout 60 commissions militaires réparties dans tout le pays. Les ppales d'entre elles se trouvent à Angers, Le Mans, Laval, Rennes dans l'ouest de la France). Paragraphe 2 : le procès des ennemis du peuple Le procès de la Reine Marie Antoinette a été arrêté le 10 août 1792 en même temps que toute la famille royale. [...]
[...] Les mois qui vont suivre la chute de Robespierre vont permettre de juger les autres responsables de la terreur. Le tribunal révolutionnaire fonctionne encore un moment, il est supprimé le 31 mai 1795. On arrive dans un autre régime politique à partir de 1795. C'est tjrs la révolution, mais on rentre dans le régime du directoire (1795-1799) qui dure jusqu'à la fin de la révolution : bicamérisme pour la première fois en France, et l'exécutif est collégial. Régime très fragile, tout le monde voulait la fin de la révolution. [...]
[...] Les reculs pénaux de la Terreur La Terreur : phase de la révolution fr. s'ouvre à partir de 1793, a partir de là, la révolution se radicalise, on fait la chasse aux ennemis du peuple. pdt cette période Robespierre et la convention nationale, après mort de Louis XVI janv l'assemblée s'appelle la convention nationale. Cette assemblée se réunit et décide de mettre la Terreur à l'ordre du jour. La Terreur est une politique visant à faire peur aux ennemis de la république (ennemis extérieur et intérieurs contre révolutionnaire). [...]
[...] C'est lui qui impressionne les autres. Les jurés ont été triés, seuls les meilleurs jurés populaires sont choisis. Les 15 jurés allaient tous les jours prendre leurs consignes auprès du comité de salut public. On voit que c'est une parodie de justice. On reproche à tous les prévenus d'avoir voulu rétablir la royauté, et on les accuse de collusion avec l'ennemi, de trahison. Ces accusations étaient sans fondement, mais peu importe. La seule charge qui pèse en réalité sur Danton et ses amis, c'est de s'opposer à Robespierre. [...]
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