Monarchomaques, Jean Bodin, monarchie absolue, république, expressions de l'absolutisme
En réaction contre la pensée des monarchomaques, la voie est vraiment ouverte avec un auteur Jean Bodin qui est l'auteur d'un ouvrage « les six livres de la république » parut en 1576. Ce représentant d'une bourgeoisie en quête d'ordre et l'œuvre de Bodin annoncent les prémices d'une justification de la monarchie absolue.
Pour Bodin, la puissance souveraine constitue l'essentiel. Dans son œuvre ce dernier nous décrit la république au sens romain du terme (La respublica). Il nous dit que cette chose publique est un gouvernement fondé sur le droit et la morale.
[...] C'est le roi qui décide lorsque il considéré que c'est opportun d'instituer une commissions et à tout moment il peut mettre fin à la fonction du commissaire on dit qu'il est choisi tant qu'il plait au roi ».C'est un procéder commode pour le roi car il lui permet de bien surveiller ses agents. On a des agents dépendant le roi y a recours lorsque il s'agit d'exercer des missions d'importance, délicat. Autrement dit les commissaires sont ceux qui exerce les postes clé de l'administration ce sont les gouverneurs, les intendants, les diplomates Ceux qui exercent des fonctions importante. Sous l'ancien régime il existe une dualité de la fonction publique qui regroupe tous les agents de la fonction mais qui sont les agents de la fonction. les agents de l'organisation administrative local. [...]
[...] Nous sommes dans les prémices des temps modernes. L'absolutisme vers lequel tend l'état connaît des manifestations qui traduisent la modernité de ces temps. : Les organes centraux de conseil et de gouvernement. Le roi exerce son pouvoir sans partage, il est évident qu'il ne peut pas faire seul face à toutes les situations il lui faut nécceserement des collaborateurs réguliers. Les ministres. Mes ministres sont ceux qui préparent les décisions et veillent à leurs exécutions. Les officiers de la couronne à partir du 16ème sicle il n'y en a presque plus. [...]
[...] Ou le roi siège, dans le cadre des conseils de gouvernement on discute des affaires de l'Etat les plus importants ou les conseillers doivent des avis. Formation dont le roi abandonne souvent la direction au chancelier alors dans ces formations il est traité de question technique, administrative. Dans le cadre de ses formations que les questions judiciaire sont traités. Le roi délégué donc une parties de ses pouvoirs à certains haut-personnages mais cette délégation des pouvoirs va bien au-delà des ministres, des conseillers. Cette délégation concerne aussi les agents régionaux, locaux.Sans cet administration territorial il ne saurait y avoir d'Etat. : L'administration territorial. [...]
[...] Dès le 16ème siècle ils ont sous leur contrôle un secteur géographique. Entre le règne de Charles IX et celui de louis XIV il va se constituer des secteurs par matière on trouvera un ministre de l'intérieur, des affaires étrangères, de la marine et un dernier de la guerre. Les problèmes gouvernementaux essentiel concerne l'économie et les finances alors les affaires éco et financière sont confié à un homme le surintendant des finances fonction qui va exister jusqu'en 1661, le dernier étant Fouquet. [...]
[...] La justice est extrêmement onéreuse. Par ailleurs la bourgeoisie investit massivement dans ces offices c'est-à-dire que la bourgeoiserie ne place pas ses capitaux ailleurs en particuliers dans des investissements industriels qui aboutissent à un retard économique de la France. En 1664 l'ensemble du capital investi dans les offices (45,000 office) représente un demi-milliard de livres à la même époque le budget de l'état et une centaine de millions de livres. Les offices sont patrimoniaux, et les officiers bénéficient d'une grande indépendance vis-à-vis du roi. [...]
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