L'Italie ! Ce mot fort de la seconde partie du XIXème siècle est le simple but de ce commentaire. En effet, le document sur lequel nous nous appuyons contient les extraits d'un texte de loi, l'un des plus importants de l'histoire de ce pays : La loi des garanties. Cette loi n'est, cependant, qu'une traduction de l'originale. Cette dernière a été écrite par Victor Emmanuel II et contresignée par plusieurs personnes importantes de l'époque (dont le ministre des affaires étrangères du Royaume d'Italie et le président de l'Académie nationale des Lynx). Victor Emmanuel II est né en Savoie, il fut prince de Piémont, duc de Savoie, comte de Nice et roi de Sardaigne de 1849 à 1861. Cette loi a pour destinataire premier le souverain Pontife, qui n'est autre que Pie IX, 253ème pape, né en 1846, et chef spirituel de l'Eglise catholique. D'autre part, ce texte de loi s'adresse, implicitement, aux italiens (révolutionnaires et partisans de Victor Emmanuel). La date exacte de l'écrit de cette loi n'est pas connue, cependant elle ne peut s'éloigner de sa date de promulgation. Plusieurs facteurs, politiques économiques et territoriaux ont suscités le besoin de la rédaction de cette Loi des garanties, donnée à Turin le 13 mai 1871.
[...] Exposé sur la question romaine : La loi des garanties (13 mai 1871) L'Italie ! Ce mot fort de la seconde partie du XIXème siècle est le simple but de ce commentaire. En effet, le document sur lequel nous nous appuyons contient les extraits d'un texte de loi, l'un des plus importants de l'histoire de ce pays : La loi des garanties. Cette loi n'est, cependant, qu'une traduction de l'originale. Cette dernière a été écrite par Victor Emmanuel II et contresignée par plusieurs personnes importantes de l'époque (dont le ministre des affaires étrangères du Royaume d'Italie et le président de l'Académie nationale des Lynx). [...]
[...] En effet pays possèdent des relations diplomatiques avec lui au moment de la Loi des Garanties. Giovanni Lanza, président de la Chambre des députés du Royaume de Sardaigne (en 1860) et d'Italie (1867-1868 et 1869), ainsi que premier ministre depuis 1869, imaginait le départ du pape pour l'île de Mate ou des relations étroites entre Pie IX et l'Autriche : il craignait des représailles Le pape fut, de ce fait, surveillé pendant quelque temps. Ce pape Pie IX ne veut d'ailleurs pas collaborer avec l'Italie. [...]
[...] Plusieurs facteurs, politiques économiques et territoriaux ont suscités le besoin de la rédaction de cette Loi des garanties, donnée à Turin le 13 mai 1871. En effet, à la suite de nombreuses guerres perdues, menées par le Printemps des Peuples et Charles Albert, Cavour, homme d'Etat italien qui dirigeait le gouvernement Sarde sous le royaume de Piémont Sardaigne, décida de réagir avec Victor Emmanuel. Cavour était surnommé le Père de la Patrie et comprit comment unifier l'Italie après les erreurs de ses prédécesseurs. [...]
[...] - La Foi et le Pouvoir, le Vatican et l'Italie de Pie IX à Benoit XVI de Sergio Romano. - La Curie Romaine de Pie IX à Pie de François Jankowtak. - Atlas historique. - Chroniques de l'humanité. - Internet. [...]
[...] Dans cet article de loi, deux parties peuvent être distingué. L'une établit les pouvoirs et prérogatives du souverain Pontife après la suppression du pouvoir temporel, délimite les nouveaux territoires du pape, et définit les aspects économiques, juridiques, politiques, "militaires" et religieux que doivent respecter le nouvel Etat vis-à-vis du pape. L'autre partie, moindre, explique la décision de l'Etat Italien de renoncer à certains droits que les souverains européens avaient revendiqués et obtenus durant leurs relations séculaires avec l'Eglise de Rome (regard sur les lois et les actes des autorités ecclésiastiques, le serment de fidélité des évêques, une autorisation préalable à toute convocation d'un concile). [...]
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