Libertés publiques parcellaires, libertés publiques, autoritarisme, monarchie parlementaire, République, régime liberticide, Vichy, liberté de culte, liberté de réunion
Il y a eu trois textes qui ont affirmés des libertés que la pratique ignorera, compte tenu du contexte de guerre civile. Les républicains ont affrontés à la fois la coalition de l'Europe monarchique mais aussi une guerre civile puisqu'un certain nombre de département français étaient en proie à la guerre civile. Il y a un décalage entre les droits affirmés par les textes et la pratique.
La République sera proclamée après. Cette première constitution affirme la liberté de culte et la liberté de réunion. Dans le même temps, ceux qui ont voté cette institution ont voté la loi le Chapelier qui interdit la liberté de se coaliser pour les ouvriers.
[...] mais ce camp monarchiste n'est pas un unie. Les partisans des Bourbon étaient derrière le compte de Chambord, légitimiste au sens qu'ils étaient partisans d'un retour à la monarchie absolue, comme l'avait été Charles 10. Les Orléanistes étaient favorables au maintien des grands acquis de la révolution française, égalité civile et droit de propriété et ne voulaient pas d'un retour au passé. Ils étaient partisans d'une monarchie parlementaire et donc une monarchie absolue. Les Orléanistes ne pouvaient pas se rallier au compte de Chambord pour des raisons politiques. [...]
[...] Dans cette campagne de banquet républicain qui a commencé en 1847 était prévu un grand banquet républicain le 22 février 1848, il fut interdit mais la foule se rassembla. La garde issue de la petite bourgeoisie se rallia à l'insurrection parisienne. En quelques jours les républicains rejoins par la garde nationale se rendirent maitre de Paris. Le roi abdiqua le 24 février 1848. On a un gouvernement provisoire composé exclusivement de républicains. Ils n'ont pas voulu se voir confisquer leur révolution. Louis Philippe a été le dernier roi de France. Pour ne pas être assez loin dans le respect des libertés publiques, la monarchie de juillet chuta. [...]
[...] Il instaure la liberté de la pression. Et la nouveauté est la suppression de la peine de mort et aboli l'esclavage dans les colonies. L'esclavage avait été interdit une première fois dans la première république, mais réintroduit par Napoléon. C'est une période moderne de l'histoire, une aspiration humaniste profonde a pu s'exprimer. Les révolutionnaires étaient des humanistes qui plaçaient avant toute chose l'homme au centre du monde politique avec cette inspiration judéo chrétienne des droits naturels de l'homme qui proscrivaient toute servitude de l'esclavage. [...]
[...] Cette seconde république est instaura les libertés publiques est tombée. Du fait de la question sociale et d'un régime politique présidentiel qui a accouché de l'Empire. Le Second Empire ou le retour à l'autoritarisme La Constitution est établie le 14 janvier 1852. Cette nouvelle constitution donnait un mandat de 10 au président de la république qui gouvernait le pays. Le CE préparait les textes, le pouvoir législatif les votait et le Sénat, gardien des libertés publiques (articles 25 de cette constitution) pouvait s'opposer à la promulgation des lois contraires à la Constitution, à la religion, à la morale, à la liberté des cultes, à la liberté individuelle, à l'égalité des citoyens devant la loi et à l'inviolabilité de la propriété. [...]
[...] Cette 3ème république fut l'une des plus longues de l‘histoire de la France. elle eu une fin de vie chaotique avec l'instabilité ministérielle. Elle s'effondra avec la défaite de la France en 1940. Les adversaires de la 3ème république étaient l'extrême droite monarchiste avec Morras qui a fait la jonction entre les nationalistes et les monarchistes. Le courant des technocrates étaient sensibles aux théories d'un Etat fort. Tout cela a convergé vers le régime de Vichy qui a supprimé toutes les libertés publiques. [...]
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