Introduction à la philosophie du droit, ontologie, épistémologie, droit, ordre juridique, théorie pure du droit, Kelsen
En Angleterre, il y a la jurisprudence, théorie du droit. Il y a un enseignement de philosophie du droit. En France, c'est un pays très idéaliste où il y a eu de grands penseurs comme Descartes, etc., mais en droit ça n'a pas pris. Pendant très longtemps, il n'y a pas eu de réflexion philosophique du droit. C'est à cause de cet idéalisme juridique que la pensée en France est restée très technique.
[...] Le nomi est une philosophie de droit Guillaume D'OCCAM (moine anglais franciscain du 14ème siècle). Changement de perspective à l'origine duquel se fait la métaphysique du droit. C'est un moment charnière c'est la fin du MA, le bas moyen Age, le moyen Age tarif, le crépuscule. • Le système impérial (supra-étatique → théocratie pontificale et Saint Empire romano-germanique). • Le système féodal, soit l'éparpillement, l'émiettement du politique → système complexe dans lequel la puissance publique se confond avec la propriété privée. [...]
[...] Thomas d'AQUIN pensait qu'il existait que c'était des réalités, il était un dominicain, nait à AQUIN en Italie fin 13ème et début 14ème c'est un théologien qui assume l'héritage judéo chrétien mais pas jusqu'au bout et il reste attaché, contrairement à d'OCCAM, à l'héritage grec, héritage héristolélicien. Pensée qui considère que dans le cosmos il y a des réalités à prendre en compte et que le cosmos porteur d'une certaine, part d'héritage grec. A adapté à la pensée chrétienne l'héritage d'Aristote. AQUIN AVEROES et MANIMOIDE ont adapté la raison, la pensée d'Aristote à la foi il faut mêler foi et raisons. Oui il y a une foi t on doit faire une confiance à Dieu, on ne sait pas tout et y'a un mystère MAIS attention. [...]
[...] Au contraire la raison pratique : celle qui consiste à développer des lois anthropologiques théoriquement vérifiables. Ni rire ni pleurer mais comprendre. Elle est donc une révolution lente mais certaine de volontarisme. Le droit n'est plus un objet qui s'impose au sujet mais est crée par lui. = Modernité liée à un processus de subjectivisation du droit, qui place la volonté à l'origine du droit. ( Le droit, pour les modernes, n'est plus considéré comme étant incréé, naturel, mais voulu artificiel. [...]
[...] Quand on transgresse la règle et on cesse de jouer au jeu. La règle constitue l'activité. La C c'est la règle ultime, suprême qui cosntitue la clef de voute d'une acte juridique mais au délà y'a rien et Kelsen était coincé. Pour sortir de ce piège dans lequel il était enfermé. Par de norme sans norme, pas de devoir être sans être. Seule droit fonde le droit, jamais le fait fonde le droit donc coincé pour fonder la validité de la C. [...]
[...] En philo du droit il y a deux types d'épistémologie. Epistémologie prescriptive : qui rassemble un certain nombre d'ontologies, d'auteurs qui ont défendus une conception du droit. Méthode de la connaissance du droit qui a tendance a confondre science et connaissance du droit. Science de la connaissance. Elle correspond en règle générale essentiellement aux doctrines jus naturalistes : classique ou moderne. Défendu par des auteurs qui adoptent un profil épistémologique prescriptif. ( Epistémologie idéaliste : (ce n'est pas une doctrine qui considère le droit comme un ensemble d'idée, idéel, ce n'est pas une ontologie idéaliste qui peut d'ailleurs être soutenu dont l'épistémologie n'est pas prescriptive. [...]
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