Ntroduction historique, ouvrages de droit, Rome, anciennes civilisations, approches chrétiennes, pensée juridique moderne
Définition la plus fréquente actuellement du droit insiste sur l'importance de la règle. Ensemble des règles obligatoires d'une société donnée.
Partant de cette définition, on voit mal comment l'histoire peut être utile au juriste ! Il semble n'avoir qu'à apprendre, appliquer les règles de droit.
Origine de ces règles, beaucoup d'entre elles sont propres à notre société, notre cité. (droit information aucun lien historique, car lié à la modernité de la technique) Certaines ont bien une dimension historique. Cela ne signifie pas qu'elles sont les mêmes qu'avant, le droit est en perpétuel mouvement. L'Assemblée nationale vote une 50aine de lois par an. Néanmoins, il a beaucoup de lois qui sont le produit de notre histoire directement ou indirectement. Ex : Dans droit de la famille, certaines lois coulent directement de notre conception de la famille, et de l'individu aussi. Un historien dirait que le pacs est un sous-mariage à Rome, il existait le juste mariage, mais il était réservé aux citoyens romains, les autres pouvaient contracter une union, mais un sous-mariage, mariage inférieur. De même, au Moyen-Age, ces sous-mariages étaient la plupart du temps justifiés par les distinctions sociales (discrimination pour nous maintenant).
Alors que l'adoption du pacs a été justifiée par la volonté de lutter contre la discrimination, vocation d'égalité.
A cet égard, le pacs peut apparaître comme une institution propre à notre société.
D'autres règles s'expliquent par le droit dans l'histoire => Ex : nécessaire consentement des époux (pour nous évidence) cependant la comparaison et l'histoire montrent que cette règle n'a pas toujours existé et n'existe pas ds toutes les civilisations et l'histoire nous montre comment est née cette règle en occident, elle s'explique par la conjonction de 2 traditions : romaine et chrétienne. En effet, la tradition romaine insistait sur le caractère consensuel du mariage seul échange de consentement. Mais à Rome, il s'agissait avant tout du consentement du pater familias et non pas de celui des futurs époux. Or, la tradition chrétienne, elle est venue insister sur le rôle des époux en matière de mariage, donc elle est venue minimiser le rôle du père de famille puis plus sur celui des époux donc au bout on a abouti au consentement des époux.
Cette règle a donc bien une dimension historique.
[...] Introduction historique au droit Thème 1 : Lien droit & histoire Définition la + fréquente actuellement du droit insiste sur l'importance de la règle. Ensemble des règles obligatoires d'une société donnée. Partant de cette définition, on voit mal comment l'histoire peut être utile au juriste ! Il semble n'avoir qu'à apprendre, appliquer les règles de droit. Origine de ces règles, bcp d'entre elles sont propres à notre société, notre cité. (droit information aucun lien historique, car lié à la modernité de la technique) Certaines ont bien une dimension historique. [...]
[...] Selon les tenants de cette conception moderne (Hobbes, Locke, Rousseau . ) à l'état de nature, l'homme vit isolé or inévitablement se pose la question du devenir de l'ho dans cette société artificielle, l'ho doit-il rester solitaire ou au contraire l'ho doit il être socialisé par la société. Or ces questions fondamentales cachent finalement un paradoxe qui est peu souvent évoqué, car selon ces modernes ces volontés humaines sont au centre de cette création humaine qu'est la société. L'ho est au cœur de la société mais selon cette conception, l'ho qui est par nature solitaire va subir l'emprise d'un pouvoir, un pouvoir qu'il va créer mais qui est contraire à sa nature. [...]
[...] On trouve là un phénomène qui peut surprendre, un txt à la base légi puisse être appliqué en qualité de coutume. Certaines régions d'Europe après la chute de Rome ont continué à appliquer le droit romain, or dans ce cas là comme il n'existait plus d'autorité politique romaine ce droit restait un droit écrit mais il était appliqué au titre de coutume puisque plus le droit de l'autorité supérieure. La coutume dans le monde romain Lorsque l'on envisage le monde et le droit romain, on a tendance à y voir un système comparable au notre cad légaliste. [...]
[...] Or s'inscrivant en rupture avec cela, la pensée juridique moderne en est venue à distinguer le droit des faits. Cette différence entre le conceptions classique et moderne, les grecs et les classiques partaient du ppe d'une organisation harmonieuse de la nature dans ces circonstances eut égard à l'existence d'une harmonie naturelle, les faits pour eux devaient avoir un sens. Or pour des raisons philo, d'une certaines manière la philo moderne a considéré que les faits sont dépourvus de sens, à partir de là, devenait inconcevable d'espérer trouver du droit à partir de faits. [...]
[...] s'il est certain que la philo moderne n'a pas été dvlpée de la mm façon. On distingue généralement 3 grands courants : Hobbes, Locke et Rousseau. L'influence de la pensée stoïcienne A la différence de la pensée aristotélicienne, des personnages comme Cicéron insistaient plus sur la nature sociable de l'homme que sur sa nature sociale (comme Aristote) ces 2 termes sont proches mais ils expriment une nuance car de manière générale en soulignant la nature simplement sociable de l'homme, Cicéron estimait que c'est simplement par son instinct (appetitus) que l'homme cherche la compagnie de ses semblables. [...]
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