Pensée juridique, Bible, héritage antique, Rome classique, appropriation du droit par l'Etat, période médiévale, droits médiateurs, pluralité du droit dans la pensée
La mode nous est venue d'Italie. Ce sujet n'a pas de limites. On fait partir ce droit à partir de tout ce qui historiquement, a participé à la tradition juridique occidentale et française plus précisément.
Le droit occidental, la civilisation occidentale se définissent par une volonté constante de s'enraciner dans un passé qui est celui de l'Antiquité.
Jusqu'où va le regard historique ?
Pour certains, comme pour les Allemands, l'histoire du droit va jusqu'à hier.
Mais peut-on faire de l'histoire quand on est inséré dans l'histoire ?
Le but est de comprendre le fondement, les formes, les méthodes et caractériser les visées du droit, ce qui est commun avec la philosophie du droit.
Mais les instruments choisis sont différents, l'histoire de la philosophie du droit, c'est celle faite par les philosophes. On a un métadiscours.
Il va de soit que nous ne pouvons pas ignorer ces philosophes, il existe des interférences entre les disciplines.
[...] Désaccord entre les deux, Denis voulant mettre à mort Platon, ce dernier fuit. B -La voie réaliste. Présente dans les lois l'autre dans le politique. Dans ses deux ouvrages, la loi déqualifiée retrouve son objet essentiel. Il en fait un substitut de la raison. La loi est le substitut d'une raison non suffisamment présente. C'est la loi qui vient jouer le rôle général, le législateur est un homme important, la loi son expression, la caractéristique du régime c'est le légalisme. [...]
[...] Inévitablement ils sont conduits à présenter le droit proposé par l'Etat comme le droit supérieur et les autres règles comme des compléments des règles posées par l'Etat. Une différence dans la présentation de ses normes. Beaucoup étaient des règles énoncées pour un cas. Ils transforment ce matériel, s'efforcent de présenter un ensemble forgeant un système. Ils dégagent des règles, les présentent comme des règles générales et tentent de les assembler pour leur donner une cohérence. Le droit impérial apparaît comme le droit supérieur. [...]
[...] Quelle différence entre un gouvernement par des femmes, ou un gouvernement d'Hommes que gouverne des femmes Le législateur homme qui refonde le droit et la Cité : Lycurgue, dont le texte = Rhetra. La tradition semble tardive et comportait une part de légende. L'idée que le régime spartiate reposait sur un texte, expliquait son unité, cohérence et remarquable stabilité. Idée acceptée et source de réflexion. Quand les penseurs s'intéressent à Sparte il montre l'intérêt de tout faire reposer sur un seul texte. Les institutions spartiates sont mises en place au VIIème siècle. [...]
[...] Au niveau des institutions romaines on passe rapidement. On a le consul, et surtout le tribun magistrat particulier ayant la charge de défendre la plèbe, avec un pouvoir négatif que l'on va tenter de remettre en usage, il peut interdire tout acte pris par un autre magistrat. Le Sénat Romain Il dispose de l'auctoritas c'est un conseil de sages, ceux sont des anciens magistrats ; cette assemblée politique réapparaît avec Napoléon, et on lui donne alors une sorte de contrôle de constitutionnalité. [...]
[...] Pour certains, comme pour les Allemands, l'histoire du droit va jusqu'à hier. Mais peut-on faire de l'histoire quand on est inséré dans l'histoire ? Le but est de comprendre le fondement, les formes, les méthodes et caractériser les visées du droit, ce qui est commun avec la philosophie du droit. Mais les instruments choisis sont différents, l'histoire de la philosophie du droit, c'est celle faite par les philosophes. On a un métadiscours. Il va de soit que nous ne pouvons pas ignorer ces philosophes, il existe des interférences entre les disciplines. [...]
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