Histoire des institutions publiques depuis la Révolution, droit de remontrance, Ancien Régime, monarchie constitutionnelle, Directoire, Consulat, Empire, Restauration, Robespierre, révoltes jacobines, Terreur, loi des suspects du 17 septembre 1793
Il existe une continuité institutionnelle entre l'Ancien Régime et la Révolution. Au début, on a une monarchie constitutionnelle mise en place en 1789, puis on a une Constitution et l'avènement de la 1re République. Après avoir coupé la tête du roi, on a un régime qui va vouloir prendre le contre-pied de ce qui précède, les nouveaux riches vont prendre le pouvoir. Les spéculateurs qui ont gagné de l'argent grâce à la Révolution mettent en place un régime directoire, un régime de corruption.Tous les problèmes issus de la Révolution ne sont pas résolus par ce régime corrompu. Un homme qui a participé au directoire va prendre la tête d'un mouvement de contestation, Bonaparte, qui va mettre en place le Consulat (régime d'ordre). Ce régime fonctionne tellement bien qu'il décide de devenir Empereur, d'où l'Empire en 1804 qui dure jusqu'en 1914.
[...] Les membres de l'assemblée sont toujours des bourgeois, juristes, professions libérales, journalistes, médecins, professeurs. Ce n'est plus la haute bourgeoisie mais la moyenne bourgeoisie qui remplace la haute bourgeoisie. Il n'y a aucun membre du bas peuple, aucun sans culotte ne siège à la Convention, il y a juste un seul ouvrier. Ces bourgeois font des idées plus populistes, dans leurs discours ils veulent représenter le peuple. Composition politique : Au centre Le Marais qu'on appelle aussi la Plaine qui vote en fonction des circonstances, de la loi du plus fort. [...]
[...] Ils essayent de se débarrasser des ministres Feuillants. Dans l'hiver 1791-1792, ils s'attaquent à Duportail (ministre de la guerre), et ils veulent son départ, ils vont harceler Duportail en encourageant tout les mouvements de réclamation, de révolte dans l'armée. A chaque fois l'Assemblée vote un texte condamnant le ministre, qui démissionne donc. On savait que Duportail ne voulait pas la guerre, alors que les Girondins voulaient la guerre parce que pour eux, c'était le moyen de montrer le caractère contre-révolutionnaire , car il fallait abattre les tyrans dans toute l'Europe et libérer les peuples. [...]
[...] Il a réussi à se maintenir à la Convention et à participer à la chute de Robespierre. C'est un homme qui s'est fait une bonne réputation de juriste et il avait la particularité d'être conciliant. - Le troisième consul est Lebrun, qui représente l'ancien régime. C'était l'inspecteur du domaine du roi. Il a été secrétaire du chancelier Maupeou. Au moment de la révolution il est devenu député à la constituante mais a été arrêter en 1792. Il a été libéré juste après Thermidor. [...]
[...] Mais ce ne sont jamais les couches inférieures de la population. Il y a des propriétaires qui ont une aisance matérielle importante pour se permettre pendant des mois de ne pas travailler. Le système électoral est le reflet de ces députés qui vont vouloir protéger le système contre la population basse. Cela donne le système censitaire qui est adopté dans la C de 1791. L'Assemblée travaille sous le regard inquisiteur du peuple, ils ont peur du peuple. On a adopter une idée de l'abbé Sieyes qui distingue 2 types de citoyens, les citoyens actifs et les citoyens passifs sur le plan électoral. [...]
[...] La tentative du coup d'état de Malay pendant que napoléon était en RUSSIE pendant quelque heure à l'annonce de la mort de napoléon les pouvoirs se sont organiser sans mettre l'héritier au pouvoir. A partir du moment que napoléon à cumuler les défaites ça marquait la chute du régime. Les armées étrangères ont profité de la faiblesse de napoléon en 1814 pour envahir la France. Le roi de Prusse et le Tsar s'installe à Paris et exige l'abdication de napoléon. [...]
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